Coupe UEFA des Régions, c’est reparti !

La première sélection senior du Grand Est verra bientôt le jour pour disputer la Coupe UEFA des Régions. Le premier tour est fixé au 1er novembre prochain à Pagny-sur-Moselle.

C’est officiel depuis fin septembre, la Coupe UEFA des Régions revoit le jour avec une mécanique de phase qualificative nationale avant une phase européenne l’an prochain. Le premier tour est fixé à la Toussaint et la sélection du Grand Est accueillera son homologue de Normandie le 1er novembre prochain (14h) à Pagny-sur-Moselle. « C’est très juste en terme de temps pour mettre en place une sélection », concède Patrice Grethen, le Directeur Technique Régional, « surtout que nous ne souhaitons pas perturber le rythme d’entraînement des clubs ». D’autant que les joueurs du National3 sont, cette fois, aussi concernés par la sélection et qu’aucun week-end n’est disponible d’ici la confrontation avec les Normands.

C’est Joël Heit, cadre technique de la LGEF, qui sera à la tête de cette sélection et qui pourra s’appuyer sur une phase d’observation qui débute à l’échelle du Grand Est. En dehors des joueurs ayant bénéficié d’un contrat aspirant, stagiaire ou pro, tous les autres sont éligibles, à condition d’évoluer en France depuis deux saisons au moins, d’être âgé de 10 ans au moins et de 40 ans au plus. Une liste de seize joueurs sera mise sur pied rapidement et la sélection sera convoquée sur place la veille de la rencontre.

« Service aux clubs », une nouvelle ère

La Ligue Grand Est de Football en a fait sa priorité. Le « service aux clubs » a été confié à une commission présidée par Michel Gendron et Ralph Spindler (photo lgef.fff.fr). Ce dernier évoque les contours du projet.

« Le service aux clubs c’est d’abord ce que la Ligue ou les districts font tous les jours : l’organisation des compétitions, la communication des résultats…Mais il y aussi tout le reste, tout ce qu’une instance peut faire pour les clubs qui sont avant tout des associations », souligne Ralph Spindler. L’intérêt général reste au centre du projet et permet de valider la démarche du club auprès de ses partenaires privés ou publics, bien plus encore que les résultats sportifs obtenus. « Le monde associatif est face à quatre défis aujourd’hui : la transition écologique qui nous oblige à revoir nos modes de déplacements, la consommation d’eau, la gestion de nos déchets. La transition numérique qui change la manière de communiquer avec ses licenciés ou l’instance, avec le défi de mobiliser collectivement avec un outil d’individualisation. La transition économique avec la contraction des aides publiques avec l’obligation de diversifier ses sources de revenus ce qui modifie le modèle économique des associations et nécessite expertise pour la pérennisation, et puis la transition institutionnelle ou démocratique qui oblige les clubs à revoir leur mode de gouvernance. Il n’y a jamais eu autant de bénévoles en France mais le nombre de bénévoles très impliqués, au quotidien, diminue. Là aussi, le club est obligé de s’adapter et d’innover pour favoriser l’engagement bénévole. Il faut accompagner les mutations et non les subir ». Dans ce contexte, les clubs doivent prendre la mesure de leur rôle social et éducatif, toujours plus important, et de leur mission essentielle d’animateur du territoire. Un rôle qui justifie le statut d’utilité publique qu’il leur ait attribué.

Alors comment accompagner les clubs du Grand Est face à tous ces défis ? « Il y a d’abord la professionnalisation. Nous le voyons avec la mise en place du BMF par apprentissage, mais aussi avec la convention signée avec Profession Sport. Les clubs disposeront de relais sur tout le territoire sur la question de l’emploi ». Il y a aussi le volet formation des dirigeants avec des modules qui seront proposés et ouverts à tous à compter du premier semestre 2018. La commission « service aux clubs » sera aussi à l’origine d’un accompagnement de projets. « Nous allons lancer un appel à candidatures d’ici quelques semaines. L’objectif est à la fois d’identifier, de recenser tout ce qui se fait déjà dans nos clubs. Actions de solidarité, action de prévention, mutualisation de moyens, déclinaison du programme éducatif fédéral, aide aux devoirs…L’objectif est à la fois de valoriser ce qui mérite de l’être, d’inciter ceux qui hésitent à se lancer et accompagner les projets qui le mériteront. On parle là d’un accompagnement logistique, de communication ou financier », poursuit Ralph Spindler qui compte bien y associer tous les districts du territoire, garants d’une réelle proximité.


Vous avez des questions autour de l’emploi et de l’accompagnement que propose la convention avec « Profession Sport » ou vous souhaitez faire connaître un projet que vous menez au sein de votre club, merci de vous rapprocher des relais locaux :

Trophées du Fondaction, inscriptions !

Pour la dixième année consécutive, le Fondaction du Football organise les « Trophées Philippe Séguin », ouverts aux clubs amateurs et professionnels. Ces trophées ont pour objectifs de détecter, récompenser et promouvoir la mise en place d’actions citoyennes par les acteurs du football. Les inscriptions à l’édition 2017/2018 sont ouvertes jusqu’au vendredi 8 décembre prochain.

Une dotation financière récompense les quatre premiers prix pour chacune des trois catégories de l’opération. L’action présentée doit s’appuyer sur le football comme levier social et éducatif. La saison passée, plus de 200 clubs ont concouru et douze d’entre eux ont été récompensés. Depuis leur création, ces Trophées ont permis de distinguer 160 clubs.

Les clubs professionnels sont également invités à concourir pour les initiatives citoyennes qu’ils développent. Deux catégories sont ouvertes : les « Trophées Philippe Séguin », qui récompensent une action déjà réalisée, et le « Trophée Foot pour Elles » en faveur de la féminisation. Une catégorie est aussi ouverte aux joueurs professionnels qui s’investissent  tout particulièrement au sein d’une association.

Les inscriptions à la 10e édition des « Trophées Philippe Séguin » s’effectuent directement sur le site internet du Fondaction du Football.

Les thèmes :

  • Fair-play et Citoyenneté : promotion du bénévolat, actions caritatives, promotion du club comme lieu de vie, sensibilisation à l’esprit d’équipe et au fair-play, promotion du rôle de l’arbitre, respect de l’adversaire, éducation (accompagnement scolaire, ouverture culturelle,…), etc.
  • Égalité des chances : lutte contre le racisme et les discriminations, féminisation (toute action en faveur de la mixité, égalité hommes/femmes, développement de la pratique des filles, féminisation de l’équipe dirigeante du club), cohésion sociale, lutte contre l’exclusion (accueil des réfugiés…), intégration des personnes en situation de handicap, insertion professionnelle, etc.
  • Santé et Environnement : relais des messages de santé publique, nutrition et hygiène de vie, lutte contre les addictions et prévention du dopage, promotion des bienfaits du football, promotion des gestes de premiers secours, réduction de la consommation d’énergie, lutte contre le changement climatique, promotion des modes de transport verts, protection de la biodiversité, sensibilisation du public, etc.

N3 : Ne pas s’alarmer, mais …

Metz au sommet du classement, Amnéville réintégré, ça bouge dans le groupe F de National 3 où la course au maintien sera particulièrement ardue à remporter. Avant la sixième journée qui se dispute ce week-end du 30 septembre et du 1er octobre, focus sur les promus de Trémery (ici Stéphane Leoni – photo Mathieu Hohfeld) et d’Épernay, ainsi que sur Biesheim en quête d’une première victoire.

La première du CSO Amnéville en N3 cette saison n’aura pas lieu ce week-end, la rencontre l’opposant à la réserve troyenne ayant été reporté au mercredi 1er novembre. Le groupe B étant désormais composé de 16 équipes, 4 équipes seront donc reléguées à l’issue du championnat, au minimum*. « Quand on est compétiteur, jouer des derbys est super intéressant, sourit Stéphane Leoni, l’entraîneur de Trémery. Et si ça fait une descente en plus, tant pis c’est comme ça, c’est le football. Il faut faire en sorte de gagner des places et de ne pas descendre ». Après 4 journées, les Trémerois occupent la 13e place avant d’aller défier Metz II (dimanche à 15h), leader après sa victoire du côté de Troyes (2-3) en match décalé samedi dernier. Malgré trois défaites, au compteur, Stéphane Leoni reste positif par rapport au contenu proposé par sa formation. « Un peu plus de maturité ne nous ferait pas de mal et nous permettrait de faire des résultats. Comme face à Sarre Union, on tente un sombréro à la 80e à 25 m des buts, perte de balle, contre-attaque et but tout de suite. Ce sont des petits détails à corriger, mais ça va venir avec le travail, ce qui est produit est positif ».

À Biesheim, Ludovic Chevrier cherche également à positiver avant de se déplacer à Nancy, samedi (15h). « On a joué de belles équipes, mais dans le jeu on ne s’est pas senti inférieur » assure le capitaine alsacien. Après des matchs nuls concédés face à Pagny, Strasbourg et Metz, ainsi qu’une défaite contre Mulhouse, l’ASCB a obtenu ses seules victoires en coupe de France, dont l’une en prolongations sur le terrain de Kronenbourg, bête noire des Biesheimois la saison passée. Mais en National 3, les bleus blancs courent toujours après un premier succès, tout comme l’AS Erstein. Une première depuis l’accession des Rhénans à ce niveau en 2013. « Est-ce que nous sommes inquiets ? Non, poursuit Ludovic Chevrier. Mais c’est sûr qu’il faut gagner et qu’avec les matchs nul on n’avance pas. Une victoire nous ferait le plus grand bien et nous permettrait de lancer notre saison ». Un nouveau résultat négatif viendrait rajouter un peu de pression supplémentaire avant la réception d’Épernay, à priori concurrent direct dans l’objectif de se maintenir.

À priori, tant les Sparnaciens se sont montrés convaincants lors de leurs 3 dernières sorties. Après avoir entamé la saison en étant battu 2-0 par les doublures nancéiennes et messines, le Racing Club Épernay Champagne a empoché 7 points sur 9, infligeant notamment à Lunéville sa seule défaite au compteur. « Je dis toujours que le match le plus dur reste à venir, et c’est Erstein dès samedi » (18h), tempère un Alexis Rouquette qui voit en ce genre de rencontres la clé de la réussite dans l’atteinte de son objectif initial. « Lorsque j’étais entraîneur de l’équipe réserve il y a deux ans, l’équipe première est descendue. On a fini avant-dernier en perdant face à tous nos concurrents directs. L’équipe avait battu deux fois Raon L’Étape qui était redescendu de CFA, avait battu Nancy qui était dans les 5 premiers, mais face à tous nos concurrents directs on ne gagnait pas ». Le coach des Marnais insiste donc sur l’importance des 3 rencontres à venir puisqu’après Erstein et Biesheim, c’est Trémery qui croisera la route du RCE. « On s’est fixé un petit objectif de points » confie un Alexis Rouquette en étant mystérieux. Celui des Sucriers, lanternes rouges, sera moins secret.

*Le nombre de descentes des équipes du Grand Est évoluant en N2 impacteront les relégations dans le groupe F de N3. Pour rappel, Schiltigheim, Saint-Louis, Raon et Épinal jouent dans le groupe B, tandis que Reims et Sedan jouent dans le groupe C.

Le programme de la 6e journée :

https://www.fff.fr/championnats/fff/national/2017/342357-national-3/phase-1/poule-6/agenda

Formation continue (BE1, BMF ou BEF)

Dans le cadre de l’évolution de la Ligue du Grand Est, l’organisation de la formation continue (licence technique régionale) pour les éducateurs titulaires du BMF ou BEF a évolué (photo lgef.fff.fr).

Cette saison, cette formation (recyclage) se déroulera en deux parties obligatoires :

  • Une demi-journée commune
  • Une demi-journée spécifique à choisir dans un catalogue thématique

Le détail des explications a été ou sera communiqué aux participants lors de la demi-journée commune. Quatre dates possibles pour ce regroupement :

  • « Territoire Alsace » à Strasbourg, le samedi 2 septembre (information : mtschroeter@lgef.fff.fr)
  • « Territoire Lorraine » à Nancy, le lundi 16 octobre (inscription et information : snoel@lgef.fff.fr)
  • « Territoire Champagne-Ardenne » à Reims, le samedi 14 octobre ou à Troyes, le samedi 2 décembre (inscription et information : rchalenton@fff.fr)

Les programmes complets pour le Grand Est :

Les Espoirs à Troyes, une première pour Grandsir !

Le sélectionneur Sylvain Ripoll a dévoilé, ce jeudi 28 septembre, la liste des 22 joueurs pour les deux prochains matches de l’Équipe de France Espoirs, face au Monténégro à Troyes et au Luxembourg, comptant pour les éliminatoires de l’Euro 2019.

Parmi les joueurs convoqués, on retrouve notamment le milieu offensif de l’Estac Samuel Grandsir (photo estac.fr), appelé pour la première fois avec les Bleuets, l’ancien gardien troyen Paul Bernardoni, aujourd’hui à Clermont Foot et deux Strasbourgeois, le gardien Bingourou Kamara et l’attaquant Martin Terrier (la sélection).

Les U21 tricolores seront d’abord opposés aux Monténégrins le jeudi 5 octobre (19h) au stade de l’Aube à Troyes, avant un déplacement au Grand-Duché, le lundi 9 octobre (21h), pour y défier les Luxembourgeois. Les Bleuets ont bien débuté leur parcours qualificatif de l’Euro 2019 (phase finale en Italie et à Saint-Marin) en dominant le Kazakhstan (4-1), le 5 septembre dernier au Mans.

INFOS BILLETTERIE

D2 Futsal : C’est la reprise !

C’est ce samedi 30 septembre que retentira la sonnerie de la rentrée pour les clubs de D2 Futsal. Dans un groupe B aux couleurs du Grand Est, la réception de Vénissieux Minguette par Kingersheim Futsal (13h30, ici la recrue espagnole Carlos, en jaune – photo Robin Jaeglé), l’opposition Reims Métropole / Neuhof et le déplacement de Pfastatt à Plaisance-du-Touch (16h) seront les premières rencontres à suivre. Présentation de cette édition 2017/2018.

Les coulisses ont été agitées cet été dans l’élite du futsal français et son antichambre. Un temps évoquée, l’accession de Kingersheim Futsal en D1 n’a pas eu lieu, tandis que la promotion de Toulouse UJS 31 a bien été validée. « J’avais dit aux joueurs que nous n’avions pas fait ce qu’il fallait faire sur le terrain, et que si on l’avait fait on n’aurait pas de questions à se poser. La montée est méritée pour Toulouse » commente lucidement Salim Dridi, entraîneur-joueur kingersheimois. Deuxième la saisons passée, Kingersheim s’est bien renforcé et sera forcément attendu dans un groupe où aucune équipe de l’étage supérieur n’est venu se greffer. Dans un premier temps, ce devait être le cas de Montpellier Méditerranée Futsal, finalement réintégré en D1 avec un malus de 12 points. « Toutes les équipes, que ce soit Beaucaire, Pfastatt ou Clénay, ce sont des adversaires coriaces et qui se sont aussi étoffés, temporise Salim Dridi. On vise d’abord le maintien, ce n’est pas un discours à la Guy Roux, c’est la réalité du terrain ».

Le groupe B ne sera donc constitué que de 9 équipes, contre 10 dans le groupe A. Conséquence : il n’y aura qu’une formation qui descendra en DH à l’issue de la saison, la 9e, d’autant qu’il n’y aura plus de barragiste cette saison. « Pour une année de transition, une seule descente, ça fait rêver » concède le coach du Reims Métropole Futsal, Stéphane Le. « Maintenant à nous de bosser de notre côté et de gagner des matchs rapidement ». Promus, comme Stockfeld devenu le Neuhof Futsal qui a recruté des spécialistes de la discipline, les Rémois devront faire avec les départs de joueurs ayant privilégié le gazon au parquet, tandis que la plupart de ceux qui sont restés découvriront la D2. « Dans notre région le futsal n’est pas très développé, poursuit l’entraîneur du RMF, on va dire que les joueurs partent de 0. Ce sont de bons joueurs de football, mais pour ce qui est de connaissances tactiques propres au futsal, c’est plus compliqué ». Dans un groupe à l’apparence homogène, Pfastatt Futsal aura probablement une carte à jouer s’il reste sur sa dynamique de la deuxième partie de saison dernière.


Les mouvements par club

Kingersheim Futsal

Arrivées : Simohamed Balki, Yves Bronner (Bagneux Futsal), Youssef El Majdoub, David Martin Verde, Giomar Murias Fernandez, Carlos Omabegho Salinas

Départs : Yann Bellemare (Collectif Illzach Futsal) Marouane Abarki (Collectif Illzach Futsal), Fayçal Frachkha (Belfort), Zakaria Assoul (FC Bennwihr)

Reims Métropole Futsal

Arrivées : Najib Farssane (US Avize), Olivier Chignola (Espérance Rémoise), Redouane Boumdari, Jalale Bougoufa

Départs : Anthony Millet (Reims St Anne), Yann Oggad (Narbonne Futsal Sporting), Jonathan Gaultier (RC Épernay)

Pfastatt Futsal

Arrivées : Jean-Gabriel Dussot (Sporting Strasbourg Futsal), Abdelkader El Mesaoudi (Sporting Strasbourg Futsal) Rachid Djemaoun (Sporting Strasbourg Futsal)

Neuhof Futsal

Arrivées : Jesus De Pedro (entraîneur, CS Hautepierre Futsal), Ervin Halilovic (Mars Bischheim Futsal), Ali Benyoub (Sporting Stasbourg Futsal), Youssef Boudra (CS Hautepierre Futsal), Aladin Klein (Sporting Strasbourg Futsal)

Départs : Erius Evans (CS Sedan Ardennes), Foday Camara (AS Erstein)


Le programme complet :

https://www.fff.fr/championnats/fff/federation-francaise-de-football/2017/342346-championnat-france-futsal-d2/phase-1/poule-2/derniers-resultats

Coupe du Monde 2019 : Reims frappe les 3 coups

La Coupe du Monde Féminine sera organisée en France du 7 juin au 7 juillet 2019 et fera escale à Reims pour plusieurs rencontres. La ville a reçu, ce mercredi 27 septembre, le comité d’organisation et le trophée qu’ont pu approcher de nombreux jeunes venus visiter le stade Auguste Delaune.

Les représentants de la Ligue Grand Est de Football, Georges Ceccaldi (secrétaire général), Gérard Cassegrain (président du District de la Marne), emmenés par le président Albert Gemmrich, n’ont pu que se réjouir de cette mobilisation qui annonce un nouvel élan pour le football féminin en général et l’équipe de France Féminine en particulier qui disputera sa quatrième Coupe du monde, après celles de 2003, 2011 et 2015.

Neuf villes (Grenoble, Le Havre, Lyon, Montpellier, Nice, Paris, Reims, Rennes, Valenciennes) accueilleront les 52 rencontres avec l’assurance de recevoir deux têtes de séries chacune lors de la phase de poules. La compétition réunira 24 équipes, avec un match d’ouverture pour les Bleues au Parc des Princes et une finale tant espérée par le football français le 7 juillet à Lyon, mais le chemin sera encore long d’ici là !

Les U16 du Grand Est en préparation

Suite au stage régional fin août au Creps de Reims, les cadres techniques de la LGEF, Aurélien Ferrari, Aurélien Soisson et Joël Heit (photo lgef.fff.fr) ont retenu 22 joueurs U16 du Grand Est pour disputer un match de préparation face à l’AS Nancy-Lorraine, ce mercredi 27 septembre au centre de formation du club lorrain.

Une sélection du Grand Est composée de 8 joueurs alsaciens (RC Strasbourg, SC Schiltigheim, SR Colmar), de 7 joueurs lorrains (FC Metz, SA Epinal, Entente Naborienne, AS Nancy-Lorraine) et de 7 joueurs champardennais (Stade de Reims, CS Sedan, ESTAC) : les joueurs convoqués.

L’objectif est de préparer le stage Interligues programmé à Grandvillars (Territoire de Belfort) pendant les vacances de la Toussaint, fin octobre.

Coupe de France, tous les qualifiés

Retrouvez ici l’ensemble des équipes du Grand Est qualifiées (ici Cornimont Haute Moselotte – photo Robin Jaeglé) à l’issue du 4e tour de la Coupe de France. Les tirages au sort sont prévus cette semaine : ce lundi en Alsace, mardi en Lorraine et jeudi en Champagne/Ardenne.

On notera que tous les pensionnaires du National2 sont qualifiés, qu’il manque déjà trois équipes du National3 qui se sont perdues en route. 11 équipes de niveau District sont toujours dans la course, alors que l’AS Musau et Metzing, deux clubs de D2, sont les petits poucets du Grand Est.

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