Journées Nationales de l’Arbitrage, avec La Poste

Du vendredi 20 au lundi 30 octobre se déroulent les Journées Nationales de l’Arbitrage avec La Poste, partenaire de l’opération depuis dix ans (ici Ludovic Giuly, le parrain cette année – photo fff.fr). À travers de multiples initiatives relayées dans toute la France, l’objectif des JNA est de sensibiliser les joueurs, ainsi que le grand public, à l’importance du rôle de l’arbitre et de donner un coup de projecteur sur cette fonction incontournable.

A cette occasion, notamment en Région Grand Est, de jeunes arbitres donneront un coup d’envoi fictif sur les prochaines rencontres de Ligue 1, de Ligue 2 et de Coupe de la Ligue. Ce sera le cas d’Elodie Poix, licenciée à l’AS Musau Strasbourg (67), sur Strasbourg-St Etienne et de Julien Oliveira, licencié à la JS St-Julien FC (10), sur Troyes-Amiens, dans le cadre des 16es de finale de Coupe de la Ligue le 25 octobre prochain. En Ligue 1 le samedi 28 octobre, Maxence Richard, licencié au SA Epinal (88), donnera le coup d’envoi du match entre Strasbourg et Angers. Le même jour en Ligue 2, Mathis Danjon, licencié à l’AS Taissy (51), sera mis à l’honneur sur le derby du Grand Est entre Reims et Nancy.

Chaque week-end, ce sont environ 26.000 arbitres qui contribuent à la bonne gestion des matches de football sur tous les terrains (devenir arbitre). En France, on dénombre 58.000 arbitres qui œuvrent dans les quatre sports collectifs principaux (football, rugby, handball et basket-ball). Toutes les informations relatives aux Journées nationales de l’Arbitrage et le dispositif « Tous arbitres » mis en œuvre par La Poste sur www.tousarbitres.fr.

U16 Sélection Grand Est, en amical à Strasbourg

La sélection U16 du Grand Est poursuit sa préparation (photo lgef.fff.fr). Elle jouera un match amical face au Racing Club de Strasbourg le mercredi 18 octobre prochain (14h30). Découvrez ici les joueurs retenus.

Les cadres techniques de la LGEF en charge des sélections Aurélien Ferrari, Aurélien Soisson et Joël Heit, ont retenu un groupe de 18 joueurs dans le cadre de la sélection U16 qui disputera un match amical ce mercredi 18 octobre au centre de formation du Racing Club de Strasbourg Alsace, face à l’équipe locale.

Gardiens de buts : Artur Heinemann (FC Metz), Ylies Zitouni (Schiltigheim)
Défenseurs : Tom Maréchal (Schiltigheim), Ehsan Karki (Sedan), Brice Renoncourt (Sedan), Etienne Youte (Troyes), Mohamed Lakbi (Troyes), Nassim Amirdine (Epinal), Enzo Ribas (APM Metz)
Milieux : Hugo Lopez (Strasbourg), Sabru Durand (Strasbourg), Ibrahima Sy (Reims), Louwens Biassou (Troyes), Paul Bello (Epinal)
Attaquants : Axel Franke (Nancy), Nathanaël Mbuku (Reims), Rémy Michelutti (FC Metz), Benjamin Besic (SR Colmar)

Challenge Jean-Leroy, 22e édition

Le coup d’envoi du Challenge Jean-Leroy sera donné le 14 novembre prochain. Quarante-six sections sportives scolaires de second cycle (ici celle d’Epinal, finaliste la saison dernière – photo lgef.fff.fr), labellisées par la FFF, participeront à sa 22e édition. 

Sept sections sportives scolaires du Grand Est se lanceront dans l’aventure cette saison. Sur l’ensemble de la France, onze sites organiseront la phase préliminaire en novembre, dont un site unique dans le Grand Est à Nancy (poule 3). Quatre SSS de la région seront réunies sur ce dernier : Nancy, Epinal, Metz et Strasbourg. 

Les trois autres sections sportives se retrouveront chacune sur un site différent : la SSS de Reims a rendez-vous à Auxerre (poule 7), celle de Troyes jouera à Meaux (poule 8) et les lycéens mulhousiens seront opposés aux Franc-comtois, à Besançon (poule 9). 

Calendrier de la 22e édition :

  • Phase préliminaire : 14-15 novembre ou 21-22 novembre 2017 (le programme)
  • Phase qualificative : 23-24 janvier ou 30-31 janvier 2018
  • Phase finale : 28 et 29 mars 2018 au CNF de Clairefontaine

Les Bleues à Reims le 23 octobre !

L’Équipe de France Féminine continue sa préparation à la Coupe du Monde 2019 qui aura lieu en France du 7 juin au 7 juillet 2019. Les Bleues affronteront l’Angleterre, le vendredi 20 octobre à Valenciennes (21h) avant de se mesurer au Ghana, le lundi 23 octobre, au stade Auguste-Delaune de Reims (21h), l’une des villes-hôtes du prochain Mondial féminin.

Parmi les vingt-trois joueuses retenues par la sélectionneure Corinne Diacre, pour ces deux prochaines rencontres amicales, deux Champardennaises de naissance, la Châlonnaise Marion Torrent et la Sedanaise Élise Bussaglia (la sélection). Les Tricolores enchaîneront ensuite avec un déplacement en Allemagne, le 24 novembre, et la réception de la Suède, le 27 novembre.

Pour ce match France-Ghana, du 23 octobre prochain à Reims, deux possibilités pour se procurer des billets :

  • A tarifs préférentiels, avec ce bon de commande réservé aux licenciés de la LGEF (à renvoyer avec le chèque à : LGEF – 9 bis, Rue des Bons Malades – CS 20026 – 51726 Reims)
  • A tarifs normaux, via le service billetterie de la FFF : billetterie.fff.fr

Convention LGEF / Profession Sport et Loisirs

Dans la logique de structuration des clubs, la création d’un poste salarié peut apparaître comme une réponse à un besoin. C’est l’objectif de cette convention entre la LGEF et Profession Sport et Loisirs dans le Grand Est. Présentation avec Bernard Feldmann, directeur de Profession Sport et Loisirs…

Quel est l’objectif de cette convention ?
Bernard Feldmann : Nous avons l’expérience et la compétence dans l’accompagnement à la fonction employeur. Nous proposons de l’accompagnement administratif : rédaction du contrat de travail, fiches de paie, déclarations sociales, etc…et informons régulièrement les associations qui font appel à nos services. L’aide administrative proposée par Profession Sport est facturée 234€ par an et par salarié. Ce partenariat sera sans nul doute une plus-value qui saura être appréciée par les clubs de football.

Aujourd’hui, si le projet est là, se pose la question des finances…combien coûte l’emploi ?
Un emploi à temps plein que ce soit dans le domaine sportif, administratif ou autre, coûte environ 24 000€ annuels toutes charges comprises pour un salaire de 1350 euros net. Des solutions existent pour faire baisser le coût restant à charge : financement par les aides publiques liées au poste (aides ANS, aides Région) ; et surtout, la mutualisation : l’emploi partagé avec une ou plusieurs autres structures. Un exemple ? Une personne embauchée à temps plein qui va réaliser une mission d’accompagnement périscolaire pour la collectivité sur un mi-temps et des fonctions d’encadrement sportif pour le club de football sur l’autre moitié. Reste aussi la possibilité de l’emploi à temps partiel.

Le gouvernement a annoncé la fin des emplois aidés, que doivent faire les clubs qui en disposent actuellement ?
Aujourd’hui, il faut complètement oublier les aides liées à la personne (emploi aidé, emploi d’avenir, etc…). Ce type d’aide est voué à disparaître à court terme et l’emploi associatif sportif n’est absolument pas dans les priorités de l’État (les priorités sont l’urgence sociale, la sécurité et l’éducation). Si vous avez un emploi aidé de type CAE/CUI, l’aide est maintenue jusqu’à la fin de la période signée avec Pôle Emploi, mais elle ne sera probablement pas renouvelée, même si certains acteurs se mobilisent aujourd’hui pour changer la donne. Dans tous les cas je conseille aux clubs concernés de tout de même réaliser le bilan avec le salarié et de prendre contact avec le référent Pôle Emploi.

Que faut-il faire, en premier lieu, si on souhaite se lancer dans la démarche ? Prenez contact avec votre référent qui saura vous orienter : les contacts.

National3 : 3 coachs et l’alternance

A Lunéville, Prix-les-Mézières et Biesheim (photo), on vit l’alternance championnat-coupe avec plus ou moins de bonheur. Gros plan sur une période toujours particulière pour les clubs de National3.

Rachid Maatar découvre l’ambiance particulière de la Coupe de France. L’ancien coach de la réserve de l’ASNL est désormais à Lunéville, l’actuel leader du championnat qui se déplacera ce samedi à Erstein. « On y va avec beaucoup d’humilité et de respect, on sait que c’est une équipe qui ne lâchera rien même si c’est dur pour elle en ce moment », confie le coach meurthe-et-mosellan. « On est devant, c’est bien, mais on sait que c’est très fragile. On est dans une période où l’on peut tout perdre en huit jours en se retrouvant 5e en championnat et en étant sorti de la Coupe de France ». Surtout qu’à Lunéville, les joueurs y ont pris goût avec un 32e de finale joué face à Chambly la saison dernière. « La Coupe c’est formidable, ça apporte une adrénaline supplémentaire, il faut juste adapter notre discours car si on rate un match de championnat, on a oublié deux jours après. La Coupe c’est différent, ça peut laisser des regrets longtemps ».

Teddy Pellerin, à Prix-les-Mézières, est dans le même état d’esprit. Son équipe avait raté sa dernière sortie en championnat, face à la réserve strasbourgeoise, mais vient de s’offrir un exploit en Coupe de France en allant battre Sedan sur son terrain dans les arrêts de jeu. « La Coupe de France, ce sont des émotions sympas. L’an dernier, nous sommes allés en 16e de finale mais la fin nous a laissé des regrets », avec une élimination face à Fréjus (CFA), à l’extérieur de surcroît. Cette année, les Ardennais espéraient aller au moins au 6e tour, c’est fait. Quant au championnat, « il est trop tôt. On verra fin décembre et surtout comment les uns et les autres seront capables de redémarrer en janvier-février ». En attendant, Prix-les-Mézières, 9e à 5 points du premier, recevra dès samedi (15h), une réserve de Metz bien installée dans le haut du classement.

Biesheim a dû batailler ferme pour atteindre le 6e tour de la Coupe de France. Il a fallu passer par la prolongation pour venir à bout de Furdenheim, équipe alsacienne de Promotion d’Honneur. Après 5 matchs disputés, Biesheim n’a certes perdu qu’une fois, mais n’est encore parvenu à s’imposer, d’où une 13e place qui pose forcément question. « On a des matchs compliqué en championnat même si notre bilan à l’extérieur est correct avec trois nuls en trois sorties. C’est vrai qu’on sort d’un non match en Coupe de France. Ce n’est pas la meilleure manière de préparer ce match face à Epernay qui arrive », concède Hervé Milazzo, le coach rhénan. « Dans cette période de la saison, on est obligé de travailler match par match avec, pour nous, deux objectifs, passer la seconde à domicile samedi, et dès le lendemain espérer un bon tirage en Coupe de France. Le club manque de cette relation particulière à la Coupe de France, une histoire qui permet de fédérer le groupe en interne mais aussi de fédérer autour de lui ».

Hier soir, Amnéville faisait ses débuts à domicile face à Trémery avec un premier succès cette saison (1-0). Le reste du programme de cette 7e journée avec pas mal de derbies au menu :
https://lgef.fff.fr/competitions/?id=342357&poule=6&phase=1&type=ch&tab=agenda

Régional1 : Eclaron, le doyen de tous !

Le club de la Haute-Marne est le plus ancien club amateur français évoluant en Division d’Honneur au moins. C’est le cas depuis 1967 avec quelques incursions en championnat de France (ici au début des années 80). Un record de longévité remis en cause aujourd’hui.

L’histoire officielle situe le moment en juin 1967. Match décisif à Eclaron face à Langres. Centre de Perrin et tête décisive d’Yves Pintat pour une victoire 1-0, synonyme de montée. Yves Pintat, 71 ans en janvier prochain, est toujours au club. Le vice-président affiche des doutes sur cette version officielle. « C’est vrai que j’ai un doute, était-ce vraiment le match de la montée. Je ne sais plus trop ». Il faut dire que c’était il y a bien longtemps. En 1971, Eclaron s’offre une pige en championnat de France. Puis remet le couvert au début des années 80.

Depuis, malgré les difficultés économiques du département, Eclaron a tenu le choc. Toujours, envers et contre tout. Le village a été rejoint depuis les années 70 par ses voisins de Brancourt et Sainte-Livière. Situé près du lac du Der, à dix kilomètres au sud de St-Dizier, il a perdu la totalité ou presque de ses emplois industriels dans les années 80 pour devenir davantage la « station balnéaire » du département avec ses deux plages aménagées, son port de plaisance et ses quatre clubs de voile. « Ici, les joueurs viennent pour donner, pas pour recevoir. Ils jouent dans un club qui a une histoire. Avant chaque match, dans leurs têtes, les joueurs se disent qu’ils sont des petits. Une fois lâchés sur le terrain ils font tout pour prouver le contraire », a coutume de dire Yves Pintat. Même si Eclaron a grandi, autour notamment de son école de football.

Mais il faut bien le reconnaître, son équipe fanion est aujourd’hui dans le dur. Pillé à l’intersaison, le groupe a vu son entraîneur, Christophe Legros, jeter l’éponge début septembre. C’est un ancien joueur de St-Dizier, ancien coach de l’ASPTT Chaumont, Nicolas Fournier qui a pris la barre, mais la scoumoune semble lui coller aux basques. Il y a quinze jours, Eclaron menait 0-2 à la pause à Prix-les-Mézières, avant de s’incliner 3-2. Dimanche dernier, en Coupe de France, c’est à la 123e minute qu’Eclaron a laissé filer la qualification à Epernay. « Ce n’est pas bon signe », concède Yves Pintat, « on a pris un coup sur la tête c’est sûr. Mais ce n’est pas parce qu’on est largué qu’on va lâcher l’affaire. Il faut qu’on s’accroche à cette DH comme à la prunelle de nos yeux car c’est un petit exploit qu’on maintient chaque week-end depuis cinquante ans. Je pense qu’une relégation serait vraiment difficile à vivre, surtout pour les anciens ». On n’en est pas encore là. Eclaron vendra chèrement sa peau, c’est sûr. Et dès dimanche, en déplacement à Chapelle St-Luc.

Coupe de France, les qualifiés du Grand Est

40 équipes du Grand Est sont qualifiées ce soir pour le 6e tour de la Coupe de France. Elles participeront toutes au tirage au sort qui aura lieu dimanche prochain, 15 octobre à 18h30 à Strasbourg.

En dehors de Sedan (N2), éliminé sur son terrain dans le derby par Prix-les-Mézières (0-1), tous les « gros » ont passé ce tour même si pour certains il aura fallu batailler ferme, à l’image de Biesheim (N3) qui a dû attendre la prolongation pour venir à bout de Furdenheim (PH). Le « carton » de ce 5e tour est à mettre au crédit de Haguenau (N3) qui a passé douze buts au petit poucet alsacien, AS Musau (D2).

Le petit poucet du Grand Est se nomme désormais Metzing, club de D2, qui multiplie les exploits depuis le début de l’épreuve et qui est encore venu à bout de Woippy (1-0), samedi soir. Deux autres équipes de District sont encore en lice avec Château Porcien (D1 – Ardennes) et Fegersheim (PH- Alsace). Tous les clubs qualifiés sont invités à participer au tirage au sort qui aura lieu dimanche prochain (18h30) au centre de formation du Racing Club de Strasbourg Alsace. Ils pourront ensuite assister au match entre le club strasbourgeois et l’Olympique de Marseille. Le tirage sera également diffusé en direct vidéo sur les pages facebook de la Ligue Grand Est dans chaque ancien territoire. Ce tirage s’effectuera au niveau du Grand Est avec deux groupes géographiques.


LES QUALIFIES

Alsace
Schiltigheim (N2) – St-Louis/Neuweg (N2) – Biesheim (N3) – Haguenau (N3) – Mulhouse (N3) – ASIM (R1) – Reipertswiller (R1) – Hégenheim (R1) – Kembs (R2) – Geispolsheim (R2) – AGIIR Florival (R3) – Still (R3) – Bantzenheim (R3) – Huningue (R3) – Ittenheim (R3) – Fegersheim (PH).

Champagne-Ardenne
Château Porcien (D1) – Bogny (R3) – FCO Chalons (R2) – Chaumont (R1) – Cormontreuil (R1) – FC Agglo.Troyenne (R1) – Prix-les-Mézières (N3) – Epernay (N3).

Lorraine
Metzing (D2) – Vagney (R3) – Rombas (R3) – St-Dié (R2) – Haroue Benney (R2) – EN St-Avold (R1) – Thaon (R1) – Amanvillers (R1) – Forbach (R1) – APM Metz (R1) – Trémery (N3) – Lunéville (N3) – Sarreguemines (N3) – Amnéville (N3) – Raon L’Etape (N2) – Epinal (N2).

Ambition 2020 pour le football du Grand Est

Sous l’égide de la Fédération Française de Football et de la Ligue du Football Amateur, les acteurs du football amateur du Grand Est et de la Ligue Bourgogne Franche Comté ainsi que des représentants de clubs, se sont rencontrés ce vendredi 6 octobre à Tomblaine (54). Au programme, plusieurs ateliers qui ont pu disséquer 5 thématiques liées au programme fédéral « Ambition 2020 », à savoir :

  • Héritage et animation Coupe du Monde 2019 (structuration et développement du foot féminin, offre de pratique adaptée…)
  • Foot loisir (sections Loisir clubs, financement, licence pratiquant…)
  • Politique de territoire  (Accompagnement et animation des instances, accompagnement zones rurales et prioritaires, répartition des moyens …)
  • Bénévolat (licence, référencement, reconnaissance, diversité des profils…)
  • Aides aux clubs

Les propositions formulées, en présence de Brigitte Henriques-secrétaire Générale de la FFF, Marc Keller et Albert Gemmrich-membres du Comité Exécutif ne manqueront pas d’alimenter les dispositifs d’accompagnement des clubs et de promotion des pratiques initiés ultérieurement par les instances du football.

Stage national U15/U15F à Clairefontaine

Du 2 au 4 novembre prochain, cinquante joueurs U15 et trente-deux joueuses U15F seront rassemblés pour un stage national à Clairefontaine (photo fff.fr), dont cinq joueurs/joueuses qui représenteront la Ligue du Grand Est.

Lors de l’opération de détection interrégionale U14 des « Espoirs du Football » qui s’est déroulée en juin dernier, 250 joueurs et 125 joueuses (nés en 2003) avaient été observés par les cadres techniques référents du Parcours d’Excellence Sportive (PES) et du football féminin.

D’où l’organisation de ce stage à l’échelle nationale début novembre, pour ces espoirs du football français, qui sera orchestré par Patrick Gonfalone, entraîneur national, et Sandrine Soubeyrand, responsable des sélections nationales féminines. Ils seront accompagnés des cadres techniques des ligues représentées.

En catégorie U15F, Sylvie Renault (FC du Bassin Piennois) et Mégane Hoeltzel (FC St-Etienne Seltz) y participeront, tout comme Martin Adeline (RC Epernay Champagne), Lounès Boutrif (AS Nancy Lorraine) et Romain Sabater (RC Strasbourg Alsace) en catégorie U15. Ces deux derniers étant également pensionnaires du Pôle Espoirs Grand Est de Nancy.

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