Belle entrée en matière au collège pour les footballeurs

Les conseils de classe du premier trimestre se sont bien déroulés au Collège Jean Moulin sous l’œil attentif de Sébastien GOLL (photo) nouveau CPE en charge du lien entre les établissements scolaires, le Creps et les jeunes sportifs pensionnaires au Creps.

De belles satisfactions en termes de comportement général, d’implication et de résultats (PDF moyenne ci-joint) pour nos jeunes footballeurs. Les efforts consentis par le Collège pour répartir les jeunes sur plusieurs classes associés au recrutement par le DSHN d’une personne ressource supplémentaire ont contribué aussi au bon démarrage de l’année scolaire.

Deux anciens de passage au CREPS

Curieux de découvrir la toute nouvelle pelouse synthétique du Creps, les deux ex-élèves du pôle espoirs Grand Est et de la fameuse promotion 2002,  Gauthier OTT et Lucas ETIENNE (en photo avec l’encadrement) actuellement pensionnaires au centre de formation de l’AS Nancy Lorraine et régulièrement appelés en championnat U17 Nationaux, sont venus faire un petit coucou à leurs camarades. C’est avec beaucoup de plaisir qu’ils ont assisté à la traditionnelle opposition du mercredi et retrouvé l’encadrement avec notamment la présence d’ Eric PERRIN le préparateur mental Didier VOISIN le préparateur Athlétique, ainsi que leur ancien formateur et directeur du pôle, Jean-Robert FAUCHER.

Label Jeunes, c’est le moment

Les clubs ont jusqu’au 31 décembre prochain, date limite, pour déposer un dossier de candidature du « Label Jeunes saison 2017-2018 ». Ce label a pour objectif la structuration des clubs et la reconnaissance du travail de formation accompli par ces derniers. Explications.

La 3e campagne de labellisation des clubs a débuté en octobre et s’achèvera le 31 décembre prochain. Les clubs doivent déposer leur candidature via footclub afin d’acter une demande avant le 31 décembre. Le traitement de cette candidature se fera par la suite en fonction du niveau de l’équipe fanion du club (R1 et R2 via les conseillers techniques régionaux, R3 et R4 via les techniciens du territoire). Première chose à faire, effectuer un « autodiagnostic » qui prendra trente minutes en ligne, histoire de pointer les forces et faiblesses du club en matière de structuration de sa démarche sportive, mais aussi associative et éducatives, car toutes les dimensions sont prises en compte. « Le label jeunes est bien un outil de structuration car il oblige le club a analyser son organisation. L’objectif de la LGEF est de démocratiser cet outil d’évaluation qui permet de pointer les forces et les faiblesses », estime Frédéric Acker, conseiller technique régional, en charge du label.

Trois niveaux de label sont atteignables (Élite, Excellence ou Espoirs) selon une grille de critères définis par la Ligue du Football Amateur (effectif dans les catégories de jeunes, qualité des infrastructures, encadrement…). Chaque club récompensé par ce label reçoit une dotation matérielle offerte (ballons, t-shirts, matériel d’entraînement, chasubles…) et pourra utiliser ce label dans sa communication externe. 949 clubs sont actuellement labellisés en France, dont 623 l’ont été la saison dernière.


Faire l’auto-diagnostic

Présentation du Label Jeunes FFF

Synthétiques toxiques : faux débat ?

Une récente enquête du magazine So Foot évoque un risque de cancer lié à la pratique sur terrain synthétique. Elle a été massivement reprise par de nombreux organes de presse, pour autant la plupart des éléments objectifs aujourd’hui connus laissent entendre l’inverse. Explications.

Pour commencer, de quoi parle-t-on ? Selon la FFF, on recense en France 28000 terrains classés dont 10% sont des synthétiques soit un total de 2800. Au niveau de la Ligue Grand Est on en compte 344 au total dont 284 sont des terrains destinés à la pratique à onze contre onze (dont 245 sont classés : 88 en Moselle, 80 en Alsace, 24 en Meurthe-et-Moselle, 16 dans la Marne, 15 dans les Vosges, 7 dans les Ardennes, 5 dans la Meuse, 4 dans l’Aube et 2 en Haute-Marne). Par ailleurs, la fédération participe au financement et au classement d’environ 300 terrains synthétiques par an.

Dans son numéro de novembre, le magazine So Foot fait allusion à une étude de l’université de Yale aux États-Unis qui ferait état de risques de cancer lié à la pratique sur gazon synthétique. En cause, les granulats issus de déchets de pneus qui servent de matériau de remplissage des terrains et qui contiendraient des substances nocives (métaux, plomb et présence de HAP pour hydrocarbure aromatiques polycycliques). So Foot fait aussi allusion à certaines municipalités qui auraient décidé de limiter l’aménagement de nouveaux terrains.

Il convient de préciser que ce débat a été lancé depuis plusieurs années dans de nombreux pays. La Fondation contre le Cancer, en Belgique, avait déjà évoqué le sujet en décembre 2016 pour estimer par la voix du Professeur Bernard que « ce risque était extrêmement faible et inférieur à celui de la pollution atmosphérique ». Dans un récent communiqué la FFF a d’ailleurs tenu à rappeler l’étude réalise par l’ECHA (European Chemical Agency), saisie par la commission européenne, et dont les conclusions, en février dernier estimait « qu’il n’existe pas de preuve scientifique d’une augmentation du risque de cancer » et indiquait « une présence négligeable de métaux, en dessous des limites permises dans la législation actuelle ».

Une autre étude, aux Pays-Bas en 2016, avait abouti aux mêmes conclusions et les terrains synthétiques y sont toujours utilisés. La commission médicale de la FFF a elle-même validé, en mai dernier, les conclusions des enquêtes diligentées par les différentes commissions. La FFF rappelle aussi l’obligation faite aux entreprises qui réalisent les terrains d’informer les propriétaires et utilisateurs sur la composition des terrains. Enfin, elle rappelle quelques recommandations simples : prendre une douche après toute pratique ou au moins se laver les mains et le visage et bien entendu la désinfection des éventuelles plaies.

Place aux 32es de finale !

Soirée de tirage de Coupe de France aux salons Nework des Yachts de Paris, ce lundi 4 décembre (photo Agence APL/Philippe Le Brech/fff.fr). Les affiches des 32èmes de finale sont désormais connues et les équipes de Ligue 1 arrivent enfin dans la compétition, pour le bonheur de certains. Réactions…

La magie ne s’arrête jamais en Coupe de France, surtout pas à partir des 32èmes de finale ! Les clubs de l’élite arrivent et nous avons un grand gagnant : Still, le petit poucet, qui affrontera Troyes pour le seul derby du Grand Est : « On s’est tous levés comme un seul homme dans le club-house, on voulait une Ligue 1 et on l’a ! » s’exclame l’euphorique capitaine stillois, Alexandre Maisonneuve, encore décisif dans le succès du week-end qui les propulse à ce stade de la compétition, une première historique pour un club de niveau 8 depuis la création de la Coupe de France.

Le match se jouera sûrement à Molsheim, il faudra encore définir cela avec l’ESTAC, mais l’essentiel n’est pas là. « On est encore sur notre petit nuage, c’est un truc de fou, je crois qu’on va tous passer les meilleures fêtes de fin d’année de notre vie » explique Maisonneuve. C’est la fête en Alsace, et dans l’Aube on reste très prudent comme nous l’indique Luis De Sousa, directeur sportif du club troyen « On reçoit le petit poucet, mais ça ne changera en rien notre façon de travailler. Il y a 90 minutes à jouer si ce n’est plus, dans un grand respect des amateurs ». Mais il n’y a pas qu’en Alsace, où on est satisfait du tirage.

En effet, l’AS Nancy-Lorraine aura aussi le droit à un match de gala à Marcel Picot. Le club au Chardon accueillera l’Olympique Lyonnais, actuel deuxième de Ligue 1. « On est satisfait de jouer à domicile, ça va nous remémorer les bons souvenirs de la première division et sans doute remplir le stade » explique Paul Fischer, directeur général adjoint du club nancéien. Les voisins de Metz, quant à eux, iront dans le Nord jouer contre Dunkerque, alors que Strasbourg démarrera par un choc de L1 contre Dijon. Les Alsaciens de Schiltigheim retrouvent les 32èmes en accueillant l’AJ Auxerre et Biesheim les découvrira pour la première fois, en se déplaçant à Fleury. Epinal connaît son éventuel adversaire, mais il restera le match du 8e tour à jouer pour les Vosgiens, ce dimanche 10 décembre contre le Blanc-Mesnil (14h30). Les matchs sont programmés pour le premier week-end de 2018, les 6 et 7 janvier prochains.

Maxime Faure

+ de photos du tirage au sort


Les affiches des 32èmes de finale pour le Grand Est :

  • SC Schiltigheim (N2) – AJ Auxerre (L2) samedi 06/01 à 15h
  • FC Fleury 91 (N2) – ASC Biesheim (N3) samedi 06/01 à 18h
  • AS Nancy-Lorraine (L2) – Olympique Lyonnais (L1) samedi 06/01 à 21h
  • RC Strasbourg Alsace (L1) – Dijon FCO (L1) dimanche 07/01 à 14h15
  • Still 1930 (R3) – ESTAC Troyes (L1) dimanche 07/01 à 17h30 à Molsheim
  • USL Dunkerque (N1) – FC Metz (L1) dimanche 07/01 à 17h30
  • Entente SSG (N1) – SA Epinal (N2) dimanche 07/01 à 17h30

Le programme des retransmissions

Florian Schwoob, la forteresse stilloise

Florian Schwoob (photo Jean-Marie Holtz), le gardien du FC Still (R3 Alsace), a été l’un des héros de la rencontre que son équipe a disputé à Rombas (R3 Lorraine) ce dimanche 3 décembre, dans le cadre du 8e tour de Coupe de France. Le penalty de Yousfi, intercepté par le gardien bas-rhinois, était sans doute le tournant du match.

Quand Steve Derhan a donné l’avantage à son équipe au début du temps additionnel, on pensait que le plus dur était fait pour les Alsaciens. Ces derniers étaient encore mis à rude épreuve quand l’arbitre accordait un penalty, à la 103è à l’équipe locale.  L’UL Rombas avait l’occasion de remettre les pendules à l’heure, mais c’était sans compter sur un Florian Schwoob décisif entre les poteaux. « Je suis resté concentré  face au tireur, décidé à rester au milieu du but le plus longtemps possible. Dans ma tête, je me suis dit qu’il allait tirer fort au milieu. Quand le tir est parti, j’ai réussi à le détourner des pieds ». En toute modestie, le gardien stillois revient sur ce moment où tout aurait pu basculer, ne parle même pas de ses interventions décisives des 81 et 83è, ni de celles dans le temps additionnel.

Alors, quand l’arbitre siffle la fin de la rencontre, Florian Schwoob court vers son coach, Guy Kiennemann et tombe dans ses bras. Le duo, qui avait déjà connu de belles périodes à Dinsheim-sur-Bruche, s’est retrouvé un an plus tard, tout près de là. « Guy m’a fait énormément progresser, si j’en suis là aujourd’hui c’est grâce à lui. Il m’a fait grandir et fait passer un cap » se félicite le gardien du FC Still qui insiste : « Dans l’intervention du penalty, il y est pour beaucoup, on a notre petite technique à nous ». Florian Schwoob n’en dira pas plus sur cette complicité, il n’en savoure pas moins cette qualification pour les 32es de finale que lui et ses coéquipiers sont allés chercher en Moselle. « C’est une victoire collective avant tout, un succès qu’on doit aussi à nos supporters qui nous ont donnés un gros coup de pouce. Ils ont tout donné, franchement, c’est magnifique d’en être-là ». Dans les tribunes, certains de ses petits protégés notamment, les U11 de Dinsheim qu’il entraîne, n’ont pas manqué de l’encourager avant de le féliciter.

Dimanche soir, c’était  l’euphorie dans la salle des fêtes du petit village bas-rhinois, au retour des héros du jour. Florian Schwoob arborait un large sourire, son nom résonnait ici et là dans la salle, mais lui avait déjà la tête au prochain match de championnat, samedi soir à Ittenheim. « On aura le temps de penser au prochain tour, il va falloir rester concentré sur le championnat, notre premier objectif ». Ce soir, pourtant, il espère secrètement que le tirage au sort désignera « un  gros, une Ligue 1 » pour le rendez-vous du premier week-end de janvier. A Rombas, le Père Noël avait un peu d’avance, pourvu que ce soir il repasse pour offrir au FC Still, l’occasion de démarrer 2018 en trombe.

Jean-Marie Holtz

Haguenau, de terreur à outsider

Le FR Haguenau accueillera le FC Chambly (16e du National) ce dimanche à 15 h. Un match dans lequel les Haguenoviens enfileront pour la première fois le costume d’outsider, un match à jouer sans complexe comme l’explique le coach, Claude Spreng.

Arrivé cette saison sur le banc d’Haguenau, Spreng aborde ce match contre l’équipe de l’Oise sans se prendre la tête. Pas de changements prévus aux entraînements et une rencontre intéressante à jouer. « C’est un match dans lequel on pourra se situer par rapport à une équipe du National, on y croit mais on sait que ça sera difficile », explique Claude Spreng. Tout se passe bien en coupe pour l’instant dans une compétition qui a permis au staff de faire tourner l’effectif. Mais qu’en est-il du championnat ? Ne parlez pas à Claude Spreng de début de saison compliqué « Je pense qu’on se réfère trop à la bonne saison de l’année dernière, je viens d’arriver et il faut s’adapter. Et puis nous avons deux matchs en retard, si on les gagne, on se retrouve en haut du classement », poursuit l’entraîneur. Et le club reste sur deux bonnes victoires sur Lunéville et Sarreguemines en championnat.

Mais ce match le FRH le vivra pour la première fois de la saison comme la petite équipe, une situation qui ne déplait pas à l’entraîneur d’Haguenau « Le costume du petit nous va bien, ça évacue la honte en cas de défaite ». Un sentiment qu’il a infligé aux SR Colmar, alors en National, un soir d’octobre 2013, avec Geispolsheim qui évoluait en Division d’Honneur. « C’était une sacrée soirée, on gagne nettement 3-1 et je n’aurais pas aimé être sur le banc d’en face », raconte Spreng. Ces huitièmes tours il les connaît pour leur difficulté : « ces matchs constituent les vraies finales de toutes les équipes amateurs : les 32èmes et l’arrivée des clubs de l’élite. Tu gagnes et tu peux aller jouer contre des Ligue 1 et si tu ne passes pas c’est une grande déception ». Il avait affronté le RC Lens en 1992 à la tête d’un SR Colmar en DH, il pourra rêver d’un autre choc si les rouges et bleus viennent à bout de Chambly dimanche.
Maxime Faure

Guide de la sûreté des rencontres

Dans le cadre de l’accompagnement des clubs, la FFF a voulu créer un guide reprenant les informations essentielles pour l’organisation de la sécurité des rencontres amateurs (photo Noëlle Hausser). L’objectif étant de mettre en lumière les principaux points, sans remplacer ou modifier les textes en vigueur. Un document destiné à l’ensemble des clubs et des référents sécurité.

Dans le contexte sécuritaire actuel, la Fédération Française de Football tient à accompagner ses licenciés et ses clubs dans le cadre de l’organisation d’évènements sportifs. Cette initiative a pour objectif d’informer et de conseiller les responsables sûreté des clubs sur les réglementations applicables à notre activité.

En ce sens, la FFF rappelle que les organisateurs de manifestations sportives (match, tournoi,…), amicales ou officielles, ont l’obligation d’assurer la sécurité et la sûreté des acteurs de jeu, des officiels, du public et de l’enceinte sportive. Cependant, la complexité des réglementations applicables à l’organisation de tels évènements nécessitaient une mise en lumière de certains points.

En conséquence, la FFF a établi ce guide permettant, d’une part de répertorier l’ensemble des tâches afférentes à la sécurité et la sûreté et d’autre part, de clarifier les actions et responsabilités de chacun. Le terme « sécurité » ou « sécurité incendie » étant utilisé dans le cadre d’une réponse liée aux risques accidentels, naturels ou technologiques, tandis que le terme « sûreté » correspond à une réponse liée aux risques intentionnels (vandalisme, acte de malveillance,…).

La croissance des actes de malveillance et le contexte géopolitique actuel lié à la menace terroriste nécessitent la mise en place d’un service d’ordre, avec à la tête un responsable sûreté.

Retrouvez ci-dessous, les informations essentielles à l’organisation de la sécurité des rencontres sportives. Attention, ce guide ne peut substituer, modifier ou compléter les textes législatifs et réglementaires.

Le terrain synthétique du CREPS opérationnel !

Après avoir attendu avec impatience la fin des travaux, les jeunes de la génération 2004 qui ont eu le privilège de fouler pour la toute première fois la nouvelle surface synthétique du Creps de Nancy. Des premières sensations à la hauteur des espérances, une qualité de pelouse remarquable qui va permettre d’améliorer au quotidien les conditions d’entrainement des jeunes pensionnaires du pôle espoirs de Nancy.

Rychen, du pré au banc

Saint-Louis Neuweg et son entraîneur Vincent Rychen s’apprêtent à recevoir le FC Sochaux-Montbéliard ce samedi à 16 heures. Une affiche que connaît bien le coach pour l’avoir disputée en 2010, déjà en Coupe de France, il était alors capitaine des Ludoviciens.

24 janvier 2010, 32èmes de finale face à Sochaux pour la dernière saison de joueur du capitaine Vincent Rychen. « Je me souviens, on avait dû jouer à Illzach parce que notre terrain n’était pas homologué. On était en CFA2 à l’époque et on affrontait une bonne équipe de Ligue 1 avec Francis Gillot à sa tête ». Les souvenirs sont encore là chez l’ancien défenseur central, tout comme le but qui a mis fin au rêve des Haut-Rhinois. « Stéphane Dalmat adresse un centre parfait pour Privat, ils étaient au dessus mais on avait vraiment fait un bon match avec 2 grosses situations pour revenir dans la partie… », se souvient Rychen. L’entraîneur de 42 ans s’apprête à revivre cette affiche, mais il n’y aura pas de sentiment de revanche « C’est un nouveau match, il faudra essayer de les embêter au maximum pour tenter de les faire douter ».

Vincent Rychen a entamé sa sixième saison en tant qu’entraîneur au FC St-Louis/Neuweg et il sait parfaitement les émotions si particulières que peut procurer la Coupe de France et ce 8ème tour « En 1997 on élimine le FC Mulhouse de Ligue 2 sur le score de 1-0 pour rejoindre les 32èmes de finale, une belle histoire». C’était au tout début de sa carrière, en DH, mais il en aura vécu 3 en tant que joueurs avec notamment un match disputé avec Schiltigheim contre Bordeaux en 2000, tout cela à la Meinau ! Un stade de la compétition qu’il a connu également en tant qu’entraineur en défiant Jura Sud en 2015, l’année de la montée en CFA. Même s’il y avait eu une défaite au bout (3-0), cela reste l’un des meilleurs parcours du club en Coupe Nationale. Ce 8ème tour lui ouvrirait les portes de nouveaux 32èmes, mais cela passera inévitablement par l’exploit « Il faudra être à fond pour ne pas avoir de regrets et donner une belle image du club » explique l’ancien libéro. Un combat se prépare au sud de l’Alsace et il a comme un parfum de déjà-vu.

Maxime Faure

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