CFF1/2/3, certification à Troyes

Des éducateurs champardennais ont été certifiés le 16 mars dernier à Troyes, suite à leur formation au CFF1, CFF2 ou CFF3 durant cette première partie de saison (photo Jimmy Gedik). Ils sont licenciés au Chaumont FC, à l’Entente Marne Rongeant, au FC Vallant les Grès, à l’ES Municipaux de Troyes, à l’ASPTT Chaumont et au RCSC Chapelle : liste des admis.

Stage U14F Grand Est à Mutzig

Les meilleures U14F du Grand Est (nées en 2005) participeront à un stage régional du 11 au 13 avril prochain, sur les installations de l’AS Mutzig en Alsace. Suite aux détections territoriales (ici à Sélestat – photo Chloé Rochet), l’équipe technique de la LGEF a retenu 28 joueuses pour ce rassemblement : les joueuses convoquées.

Trois jours de stage entre tests techniques, jeux réduits et oppositions à 11 contre 11, entre autres (le programme). L’objectif étant de composer la sélection U14F Grand Est (16 joueuses) qui représentera la région ces prochaines semaines, notamment le mercredi 22 mai pour un match amical contre une équipe allemande, mais aussi lors du tournoi international de Plomelin en Bretagne, du 30 mai au 2 juin et lors des Interligues du 14 au 16 juin prochain à Reims.

A ramener le jour J :

Formations des dirigeants dans le Grand Est

Dans le cadre du Parcours Fédéral de Formation des Dirigeants et de son déploiement en région, la Ligue Grand Est de Football organise prochainement plusieurs formations à destination des dirigeants des clubs (photo Brahim Bouchareb).

Outil indispensable au développement et à la structuration des clubs, la formation des dirigeants est au centre des préoccupations de la LGEF. Spécialement adaptées aux dirigeants de clubs, ces formations sont destinées à apporter des notions élémentaires pour leur permettre d’appréhender au mieux les missions qui leur incombent (+ d’infos sur les modules de formations).

Fiches descriptives des différents modules : Recruter un salarié et financer l’emploi / Accompagner le salarié et développer l’emploi / S’approprier les clefs de la gestion financière / Optimiser les ressources financières de son clubMobiliser et animer une équipe au service d’un projetMaitriser l’environnement du footballAppréhender les responsabilités de l’associationRedécouvrir le cadre associatif du footballDécouvrir la méthodologie de projetDévelopper son aisance à l’oralRéagir face à un conflit / Construire et promouvoir un projet.

AVRIL 2019

  • Module « Construire et promouvoir un projet »  à l’établissement LGEF de Strasbourg, le samedi 27 avril 2019 de 8h30 à 12h30
  • Module « Construire et promouvoir un projet »  au District d’Alsace à Illzach, le lundi 29 avril 2019 de 18h à 22h
  • Module « Mobiliser et animer une équipe au service d’un projet » au District de Haute-Marne à Chaumont, le mardi 30 avril 2019 de 18h à 22h

Toutes les formations sont entièrement gratuites grâce aux bons de formation mis en place par la FFF à destination des dirigeants de clubs, lors de leur participation à l’une d’entre elles. Formulaire d’inscription à retourner avec les bons de formation à Raphaël Chalenton, afin de valider l’inscription : rchalenton@lgef.fff.fr.

Actifoot, c’est parti !

Ce vendredi matin 22 mars, au siège de Groupama Grand Est à Strasbourg, en présence d’Albert Gemmrich, Président de la LGEF, et Didier Guillaume, Directeur Général de Groupama Grand Est (photo LGEF), s’est déroulé le lancement officiel d’actifoot.fr, la plateforme du service aux clubs de la Ligue du Grand Est. Ce nouvel outil vient incarner la démarche lancée par la LGEF. Explications…

Faciliter le travail des dirigeants bénévoles des clubs du Grand Est. Voilà le mot d’ordre qui a été à l’origine de la création d’Actifoot, la plateforme du service aux clubs. Chaque acteur du football, dirigeant, éducateur, arbitre, se connectera à la plateforme avec un identifiant qui lui permettra d’accéder à des informations dédiées et géolocalisées, mais aussi à tous les services dont il a besoin : site internet de la LGEF, de la FFF, Foot Club, mais aussi les réseaux sociaux. La plateforme sera aussi la porte d’entrée générale de toutes les formations de dirigeants, d’éducateurs et les formations initiales à l’arbitrage, mais aussi de la Bourse aux projets et de Foot Valeurs, les projets spécifiques de la Ligue Grand Est.

Plus généralement, la plateforme a vocation à devenir le centre de ressources pour tous les clubs qui y trouveront des informations essentielles pour la gestion quotidienne de leur club à travers des fiches pratiques synthétiques et facilement accessibles. Les clubs y retrouveront aussi les logos des opérations LGEF et FFF dont ils pourront se servir pour leur propre communication. Actifoot donnera enfin accès à des outils du type Artywiz, un outil dédié qui facilitera la vie du club dans ses démarches de communication en lui permettant d’automatiser la création d’éléments comme des programmes de matchs, des affiches, des cartes de visite, etc.

Bref, un outil complet qui va encore se développer. « Nous avons conscience d’innover », explique Albert Gemmrich, Président de la Ligue du Grand Est. « Nous avons choisi de lancer cette plateforme avec le printemps, c’est symbolique bien entendu, mais c’est aussi avec l’idée de laisser du temps à nos clubs pour s’y familiariser afin que tout soit en place à la rentrée prochaine ». « Nous sommes ravis d’accompagner la LGEF et ses clubs dans ce projet fort de digitalisation qui va contribuer à une meilleure structuration du football », a indiqué de son côté Didier Guillaume, Directeur Général de Groupama Grand Est.

Pour vous connecter et découvrir la plateforme, rendez-vous sur « actifoot.fr ».

Désormais c’est « madame l’arbitre » !

Ce samedi 23 mars a lieu à Strasbourg un stage de perfectionnement pour les arbitres féminines du Grand Est. Laura Georges, ancienne joueuse de l’Équipe de France et aujourd’hui secrétaire générale de la FFF, sera elle aussi présente. Une invitée de marque pour une pratique qui se développe de plus en plus. Témoignages…

« Au début, on me disait monsieur l’arbitre au lieu de madame l’arbitre, mais c’était marrant ! ». Maelie Degand (photo) n’a que 17 ans mais pourtant, elle sait déjà se faire respecter sur les terrains de football : « c’est vrai que parfois c’est difficile, comme lors de mon deuxième match où j’ai reçu beaucoup de critiques de la part des dirigeants. J’ai alors demandé au coach de passer derrière la main courante. J’ai su rester forte pour terminer la rencontre ». Cette jeune Auboise, qui a commencé l’arbitrage en mars 2018, se plaît désormais à siffler : « j’aimais bien le football et je regardais les matchs à la TV, même si je n’avais jamais tapé dans la balle avant. Puis l’idée de devenir arbitre m’est venue grâce à mon entourage. Je me suis dit que cette pratique pouvait me permettre de vaincre ma timidité et de gagner en confiance ». Mais difficile de s’intégrer dans un milieu composé essentiellement d’hommes : « j’étais l’une des premières arbitres fille dans l’Aube. Au début, j’ai reçu des remarques sexistes, car les joueurs n’avaient encore jamais vu une fille arbitrer. Mais aujourd’hui les matchs se passent bien ». Maelie est consciente que les choses peuvent aller vite dans l’arbitrage : « je sais qu’il y a des perspectives de carrière possibles mais je préfère garder un pied dans les études ».

Matthieu Lombard, conseiller technique régional en arbitrage, s’occupe depuis plusieurs jours de l’organisation du stage de samedi : « il y a aujourd’hui 114 arbitres féminines dans le Grand Est, sur un total de 3147 arbitres, ce qui représente 3,6 %. Nous sommes la Ligue en France qui compte le plus d’arbitres féminines ». Néanmoins, ce chiffre reste faible et le frein majeur au développement de l’arbitrage féminin se situe selon lui au niveau des compétitions : «il n’y a pas assez de compétition féminine. Une arbitre, lors de ses débuts, commence par arbitrer des jeunes garçons. Or, c’est souvent un niveau plus élevé que la jeune arbitre ne connaît pas et dont elle n’a pas l’habitude. Il y a très peu de compétitions féminines à destination des jeunes couvertes par un arbitre officiel». Car mettre un officiel sur ce type de rencontre pourrait engendrer des coûts importants pour les clubs. Pourtant, selon Matthieu Lombard, des solutions peuvent être mises en place pour mieux accompagner les jeunes filles qui débutent : « il faudrait permettre un accompagnement plus personnalisé, comme demander à des arbitres filles officielles d’accompagner une jeune qui débute, car je pense que cela serait plus pertinent que si cet accompagnement était fait par un homme. Le stage de samedi va dans ce sens : c’est avant tout un moment de convivialité, afin de créer un esprit de groupe et de permettre aux filles de se rencontrer puisqu’elles n’arbitrent pas à trois. Ce qui est l’un des objectifs pour les saisons à venir… ».

Jimmy Gedik

Participez au concours « Allez les Bleues ! »

En cette année de Coupe du Monde Féminine (7 juin-7 juillet), le football français est en fête (à l’image du FC Nogentais en photo ci-dessus et de l’US Ittenheim en vidéo ci-dessous). A cette occasion, la Ligue du Grand Est de Football lance le concours « Allez les Bleues ! » pour afficher le soutien des clubs du Grand Est à l’Equipe de France féminine, en marge du match amical France-Danemark programmé à Strasbourg, le lundi 8 avril prochain au stade de la Meinau (21h), l’un des derniers matchs de préparation avant le coup d’envoi du Mondial.

Pour participer à ce concours, ouvert à tout le monde, il suffit d’être membre d’un club de football du Grand Est et de montrer son attachement aux Bleues à travers une création originale (photo, vidéo, animation, dessin, etc.). De nombreux lots sont à gagner parmi lesquels des places pour le match amical France-Danemark à Strasbourg, des places pour un match de la Coupe du Monde 2019 à Reims, un maillot dédicacé par les joueuses, des posters et des cartes postales dédicacés et autres goodies.

Envoyez-nous vos plus belles créations par mail (tousaveclesbleuEs@lgef.fr) ou par voie postale à l’adresse suivante, pour le 22 mars au plus tard : Ligue du Grand Est de Football – Rue Baden Powell – 67082 Strasbourg Cedex. A vous de jouer et allez les Bleues !

Charlotte Abba

Opé « Foot à l’Ecole » avec Elise Bussaglia !

A quelques semaines de la Coupe du Monde Féminine, retour aux sources pour Elise Bussaglia qui était de passage à Sedan ce lundi, dans le cadre de l’opération fédérale « Foot à l’Ecole ». L’occasion pour la joueuse internationale, aux 184 sélections à ce jour, de rendre visite aux élèves de l’école Georges Ouvrard, l’établissement scolaire de son enfance. Un reportage signé Franck Marquis (montage vidéo Charlotte Abba)…

Réserves pros : question de stratégie

Ce mercredi (16h) les réserves de Strasbourg et Nancy vont se retrouver dans le cadre d’un match en retard de N3. Évoluant pour la plupart dans ce championnat, la question de la politique des clubs professionnels par rapport à leur réserve se pose aujourd’hui, au moment de savoir quel niveau est le plus intéressant pour ces équipes. Explications…

Sur 5 réserves pros dans le Grand Est, une seule évolue en National2. Trois sont en N3 et la réserve du FC Metz fait tout pour retrouver ce niveau rapidement. Clairement, la situation des réserves pros a évolué ces dernières années et elle pose la question du projet de formation du club. Ainsi, Lorient vient de décider de stopper ses U19 nationaux pour créer une seconde réserve en Régional1. « Notre but c’est de préparer les jeunes joueurs à passer des paliers et se rapprocher chaque fois un peu plus du niveau Ligue 1 ». Ces quelques mots de l’entraineur de la réserve rémoise, Franck Chalençon, résument bien la politique générale de la plupart des clubs et de leur staff en ce qui concerne leur équipe réserve. Pourtant deux schémas de formation s’opposent aujourd’hui : « Il y a deux politiques qui peuvent être mise en place en fonction de si on évolue en N3 ou N2. La N3 permet de faire jouer des U19, même 1ere année, ce qui rajeunit l’effectif et leur permet de se faire, plus jeune, à la compétition chez les séniors. Le N2 c’est autre chose, il est presque impossible de jouer avec des U19, la marche est trop haute pour débuter. Il y a une bien meilleure adversité à ce niveau, il faudra donc jouer avec des joueurs plus âgés et qui ont déjà un peu l’expérience de ce genre de rencontres », résume très clairement l’entraineur des jeunes Strasbourgeois, François Keller. « Aujourd’hui le niveau N3 nous convient bien, si un jour l’occasion de monter se présente à nouveau on ne se privera pas, mais ce n’est pas un objectif, pour nous c’est d’abord le maintien». Malgré la différence de politique et de niveau, l’objectif de base reste le même, quelle que soit la formation : « L’objectif qu’on se fixe en début de saison c’est le maintien, ensuite notre autre objectif est bien plus sur la progression des joueurs et de l’équipe que sur les résultats. Aujourd’hui le garçon le plus vieux de notre équipe est né en 96, ça résume bien nos ambitions», déclare l’entraineur rémois.

Deux politiques pour un même son de cloche. Mais je vous rassure, il y a belle et bien une différence, elle se fait simplement à un autre niveau, au niveau sportif : « Le côté positif d’une ascension en N2 pour une réserve c’est que cela veut dire qu’on a un groupe et des joueurs qui ont le niveau et donc qu’on gardera plus longtemps. Ça permet aussi à des joueurs, comme Caci ou Weissbeck à l’époque, d’évoluer dans un championnat plus relevé et de repérer plus rapidement leur vrai niveau. C’est plus intéressant pour un jeune pro car il joue dans un championnat plus proche de ce qu’il vit à l’entrainement. » explique le frère du président du RCSA, avant que Chalençon ne complète : « Ce n’est pas du tout le même niveau entre N2 et N3, en N2 les clubs fonctionnent presque comme des clubs pros, ils s‘entrainent tous les matins, ils ont des staffs qui sont organisé comme ceux des clubs pro… ». Pour le coach champardennais, convaincu par la politique du club à l’égard de sa formation, soutient que la N2 instaure une certaine “sélection“ ce qui est une bonne chose : « C’est clair que c’est bien plus difficile mais c’est un très bon moyen d’évaluation et pour se projeter vers l’avenir des joueurs. Quand on les intègre dans le groupe on sait qu’ils seront en difficulté, on ne juge pas au bout de 3 semaines mais on voit rapidement ce qu’il en est, s’ils arrivent à prendre la mesure des choses et à s’adapter. Un garçon qui mettait 18-20 buts en U19 va devoir peut-être attendre décembre avant de marquer son premier but ici, mais s’il arrive à exister en N2 en sortant de U19 il est dans les clous pour incorporer la L1, peut-être pas immédiatement, mais il en aura les moyens ».

Pour conclure, le coach strasbourgeois, a décidé de rappeler au bon souvenir de certains, une période pour les réserves pro que lui regrette aujourd’hui : « Je regrette l’époque de la CFA, que j’ai bien connu, où on avait des groupes à 18 ou à 16. Aujourd’hui on est 14 dans notre groupe, on ne dispute plus que 26 matchs et il y a 3 clubs voir plus qui tombent. Tout cela donne beaucoup plus d’enjeu à chaque rencontre, tous les points comptent et les joueurs et entraineurs ne prennent plus trop de risque ce qui se fait au détriment du jeu et empêche parfois les joueurs de s’épanouir totalement ».

Gaëtan Pilot

Week-end des bénévoles !

Deuxième week-end des bénévoles à Clairefontaine organisé par la Ligue du Football Amateur. Après les Hauts-de-France et la Bourgogne/Franche-Comté, les 9 et 10 mars, les bénévoles du Grand Est et de la Normandie (Ligue et districts) ont eu l’occasion de vivre au cœur du Centre National du Football, ce samedi 16 et dimanche 17 mars (photo fff.fr).

Les bénévoles des clubs du Grand Est étaient invités à Clairefontaine pour découvrir le lieu de séjour des sélections nationales et surtout pour les remercier de leur investissement dans le football. Retour en images signé FFFtv…

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