Les 16 pour Grandvillars

Aurélien Soisson, Aurélien Ferrari et Joël Heit, les trois cadres techniques en charge de la sélection U16, viennent de communiquer la liste des joueurs retenus pour le rendez-vous interligues qui se déroulera à Grandvillars (Franche-Comté) du 24 au 26 octobre prochains, en compagnie notamment de la sélection de la Ligue de Bourgogne/Franche-Comté. Voici là la liste des joueurs retenus à l’issue du dernier match amical qui s’est joué mercredi dernier à Strasbourg :

Gardiens de buts : Artur Heinemann (FC Metz), Ylies Zitouni (Schiltigheim)
Défenseurs : Tom Maréchal (Schiltigheim), Ehsan Karki (Sedan), Brice Renoncourt (Sedan), Etienne Youte (Troyes), Nassim Amirdine (Epinal), Enzo Ribas (APM Metz)
Milieux : Hugo Lopez (Strasbourg), Sabri Durand (Strasbourg), Ibrahima Sy (Reims), Paul Bello (Epinal)
Attaquants : Axel Franke (Nancy), Nathanaël Mbuku (Reims), Hugo Ekitike (Stade de Reims), Benjamin Besic (SR Colmar)

Petits Poucets…Et maintenant ?

Les trois petits poucets du Grand Est en Coupe de France, Metzing, Fegersheim (photo lgef.fff.fr) et Château Porcien, seront en lice samedi et dimanche pour le compte du 6e tour. A quelques heures du match, tour d’horizon des uns et des autres.

La pression monte à Metzing à deux jours du match du petit poucet (D2) face à Raon L’Etape. Raphaël Feld, le président du club, multiplie les rendez-vous avec les journalistes. « On a eu une télé mardi à l’entraînement, rebelote ce jeudi soir, sans compter la presse écrite ou la radio. Mais c’est bien », souligne le président du club. Mardi, après l’entraînement, joueurs et dirigeants se sont retrouvés pour un repas, avec quelques anciens du club. Metzing a aussi décidé d’associer l’Entente Jeunes Est Moselle dont il fait partie à cette fête. « On exposera le label qu’on vient de décrocher, on a aussi prévu des écharpes et constituer un kop avec les jeunes de l’Entente pour le match ». Par contre, superstition oblige, rien n’est prévu à l’issue du match qui se jouera à Nousseviller samedi (19h). « On improvisera », explique Raphaël Feld, alors que l’entraîneur, David Toriello sera privé de deux piliers : Raphaël Schwartz et Cyril Marx. « Ils avaient programmé un séjour à la Réunion pensant qu’on ne serait plus en Coupe de France », explique le président, « ils ont tenté en vain de convaincre leurs compagnes de décaler ».

Moins de pression médiatique à Fegersheim où l’entraîneur, Florian Lung, a décidé « de rien changer ». Deux séances comme chaque semaine, pas de repas sportif avant le match ce samedi (18h30). « On se prépare sur le terrain mais aussi mentalement car on sait que c’est là que ça va se jouer. On sait que Still n’est pas une équipe de R3 actuellement, elle vaut mieux que ça. Il suffit de se souvenir qu’elle a éliminé Erstein (N3) et Obernai (R1). Si nous ne sommes pas disciplinés, il n’y aura même pas de match », prévient Florian Lung qui comptera ce jeudi soir sur ses 18 joueurs de champ et trois gardiens, même s’il sait qu’il devra composer sans son attaquant Alexis Haas, expulsé au tour précédent face à la Menora. « J’ai confiance en mes joueurs, ce sera le match de leur vie, d’ailleurs aucun n’a jamais vécu de 6e tour ».

Ce n’est pas le cas à Château Porcien. Au sein de l’effectif du club ardennais figurent quelques anciens de Rethel qui avait joué face au Stade de Reims, sauf que c’était un 5e tour à l’époque disputé au stade Auguste Delaune face à des Rémois alors en National. Rien de particulier non plus à Château Porcien à quelques jours de recevoir Chaumont (dimanche 15h). « Il y a un peu de coups de fil de journalistes, mais c’est à peu près tout. On a décidé de conserver toutes nos habitudes et de préparer ce match comme les autres », témoigne Ghislain Briquet, le président du petit poucet champardennais. Invaincu en championnat depuis plus d’un an, Château Porcien n’a pas l’habitude de perdre. « C’est vrai, mais c’est bien Chaumont qui sera favori », répète à l’envie de le président, « c’est une équipe solide qui encaisse peu de but et qui en marque peu. On va déjà essayer de tenir une demi-heure sans encaisser de but. On verra par la suite. Ce sera difficile mais j’ai confiance en mes joueurs. Ils sont capables de le faire ! ».

A l’occasion de ce 6e tour, la Ligue du Grand Est de Football et les clubs qualifiés se mobilisent, en reversant 1 euro par entrée en faveur du Téléthon (+ d’infos sur l’édition 2017 du Téléthon).

Allemagne-France le 14 novembre à Cologne

Dans le cadre de leur préparation à la Coupe du Monde 2018, en Russie, la « Mannschaft » et l’équipe de France se retrouveront le mardi 14 novembre prochain (20h45), au RheinEnergyStadion de Cologne. Après la demi-finale du dernier Euro en France (photo AFP/fff.fr), c’est la première fois que les deux nations se retrouvent sur le rectangle vert. 

Pour se procurer des billets pour cette rencontre internationale, rendez-vous sur le site de la FFF dédié à la billetterie. Trois catégories proposées : 102 euros (catégorie 1), 62 euros (catégorie 2) et 27 euros (tribune visiteurs) : billetterie.fff.fr. Les licenciés et particuliers peuvent acheter directement 5 billets au maximum par personne. Retrait directement au stade (guichet FFF), en présentant le voucher. Les informations précises sur ce retrait seront communiquées directement aux acheteurs (lieu du guichet, horaire d’ouverture, etc.).

Les clubs, souhaitant se procurer plus de 5 billets, doivent utiliser le bon de commande. La date limite de réception de la commande, avec le règlement, est fixée au vendredi 3 novembre. A renvoyer à la Ligue du Grand Est de Football – Rue Baden Powell – 67082 Strasbourg Cedex (contact : agonzalez@lgef.fff.fr).

Il s’agira de la 29e rencontre de l’histoire entre les deux pays, pour un bilan de 13 victoires, 6 nuls, 9 défaites, 45 buts marqués, 43 buts encaissés, en faveur des Tricolores.

Futsal, un plan de développement

Le sélectionneur national Pierre Jacky, par ailleurs DTR adjoint de la LGEF, et Patrice Feys, Conseiller technique en charge du futsal, ont présenté ce mercredi 18 octobre au comité directeur de la LGEF, le plan de développement du futsal (photo fff.fr).

Cette fois c’est sûr, c’est lancé. La qualification de l’équipe de France à la phase finale de l’Euro 2018 a fait l’effet d’un coup de booster même si la FFF avait déjà annoncé les grandes lignes de son plan d’action. Alors de quoi s’agit-il ? Il s’agit d’abord de multiplier les rendez-vous de haut niveau, au-delà de l’Euro 2018 et la France va se positionner pour l’organisation de l’Euro 2022 qui sera joué avec seize équipes, dont l’équipe de France qui serait automatiquement qualifiée et tête de série. L’autre objectif est que le futsal soit en démonstration aux JO de Paris en 2024. « Aujourd’hui, nous disposons de 30.000 licenciés spécifiques mais aussi de 300.000 pratiquants occasionnels », a précisé le sélectionneur national. Sans oublier la pratique scolaire qui concerne plus de 150.000 jeunes chaque année.

Gagner du terrain constitue aussi un axe fort du projet avec la récupération des surfaces en macadam par la pose d’un revêtement spécifique à un coût modéré qui pourrait aussi être accompagné financièrement par la Fédération. On parle là de 250 terrains mis en place d’ici 2020. L’objectif est aussi de mieux structurer les compétitions, mais aussi les clubs à travers notamment la mise en place de labels spécifiques. Sans compter la création d’un pôle espoir futsal qui va coïncider avec la création de compétitions internationales sur la catégorie U19.

Au niveau de la LGEF, on recense 1300 licenciés spécifiques et 50.000 pratiquants occasionnels. Là aussi, des objectifs sont désormais fixés comme l’a souligné Patrice Feys : création d’un championnat spécifique U15 dès la saison prochaine, et, la saison suivante, d’un championnat à l’échelle de la LGEF qui irait de paire avec la mise en place d’une D2 nationale sur un seul groupe. L’accent sera aussi mis sur la formation des éducateurs et les obligations en la matière. Un signe fort et clair pour l’ensemble des clubs et des pratiquants.

Forbach, la parenthèse enchantée

Durant neuf ans, l’US Forbach a joué au niveau professionnel. C’était il y a soixante ans déjà. Le club a même failli accéder à la D1 de l’époque. Coup d’œil dans le rétroviseur.

Bassin industriel historique, Forbach et ses alentours ont joué un rôle important dans l’histoire du football mosellan. Tout commence avec les « immigrés » allemands à la fin du 19e siècle. La différence, c’est qu’à Forbach, mais aussi à Stiring-Wendel ou Petite-Rosselle, l’industrie est florissante. Les Wendel, Abt et autre Couturier voient rapidement l’opportunité de donner des moyens aux clubs locaux qui se développent. Les mines de charbon font le reste. Le grand saut a lieu en 1957. A l’époque Forbach vient juste d’accéder à la Division d’Honneur, l’accession au monde pro se fait sur dossier. Le Groupement de Clubs Autorisés donne son feu vert en mai 1957. A l’époque, la ville est en plein essor de 9000 habitants à la sortie de la guerre, elle est passée à 35000 avec un sénateur-maire, Jean-Eric Bousch, président d’honneur du club, qui joue un rôle considérable. Ce sont six commerçant locaux, dont le président Jean Muller, qui prennent les commandes du club.

Fischbach, le gardien, et l’entraîneur-joueur des débuts, Camberlain.

Forbach connait des débuts en fanfare en D2. Victoire à Cannes, victoire à Perpignan alors que les joueurs du duo Parmentier-Camberlain sont restés dans le Sud toute la semaine. A leur retour, ils sont mille à les attendre en gare de Forbach. Un engouement est né et cette première saison voit le stade du Schlossberg se remplir (près de 7000 spectateurs de moyenne), applaudir les parades du gardien Fischbach qui filera un an plus tard à Marseille. La venue de Bordeaux et de son gardien international, l’Alsacien François Remetter, est l’occasion de la présence de plus de 10 000 personnes au stade pour une recette, à l’époque, de plus de 2,6 millions de francs. Forbach frôle même l’accession directe à la D1. Durant neuf ans, Forbach va assurer son maintien en D2, mais peu à peu, la frénésie retombe, les résultats sont plus aléatoires et les finances se tendent. On retiendra encore une participation à un 8e de finale de Coupe de France perdu face au futur vainqueur, Monaco, et un triste record, celui de la plus faible affluence d’un match : 434 spectateurs payants au Vélodrome de Marseille pour OM – Forbach en avril 1965. Un an plus tard, Forbach demande à retourner dans le monde amateur. La parenthèse est refermée.

Fernand Rachel, Vice-Président de la Ligue Lorraine de Football, décédé en janvier dernier, avait consacré un livre à cette histoire du football pro à Forbach. Il est interviewé ici par Emmanuel Saling…

Journées Nationales de l’Arbitrage, avec La Poste

Du vendredi 20 au lundi 30 octobre se déroulent les Journées Nationales de l’Arbitrage avec La Poste, partenaire de l’opération depuis dix ans (ici Ludovic Giuly, le parrain cette année – photo fff.fr). À travers de multiples initiatives relayées dans toute la France, l’objectif des JNA est de sensibiliser les joueurs, ainsi que le grand public, à l’importance du rôle de l’arbitre et de donner un coup de projecteur sur cette fonction incontournable.

A cette occasion, notamment en Région Grand Est, de jeunes arbitres donneront un coup d’envoi fictif sur les prochaines rencontres de Ligue 1, de Ligue 2 et de Coupe de la Ligue. Ce sera le cas d’Elodie Poix, licenciée à l’AS Musau Strasbourg (67), sur Strasbourg-St Etienne et de Julien Oliveira, licencié à la JS St-Julien FC (10), sur Troyes-Amiens, dans le cadre des 16es de finale de Coupe de la Ligue le 25 octobre prochain. En Ligue 1 le samedi 28 octobre, Maxence Richard, licencié au SA Epinal (88), donnera le coup d’envoi du match entre Strasbourg et Angers. Le même jour en Ligue 2, Mathis Danjon, licencié à l’AS Taissy (51), sera mis à l’honneur sur le derby du Grand Est entre Reims et Nancy.

Chaque week-end, ce sont environ 26.000 arbitres qui contribuent à la bonne gestion des matches de football sur tous les terrains (devenir arbitre). En France, on dénombre 58.000 arbitres qui œuvrent dans les quatre sports collectifs principaux (football, rugby, handball et basket-ball). Toutes les informations relatives aux Journées nationales de l’Arbitrage et le dispositif « Tous arbitres » mis en œuvre par La Poste sur www.tousarbitres.fr.

U16 Sélection Grand Est, en amical à Strasbourg

La sélection U16 du Grand Est poursuit sa préparation (photo lgef.fff.fr). Elle jouera un match amical face au Racing Club de Strasbourg le mercredi 18 octobre prochain (14h30). Découvrez ici les joueurs retenus.

Les cadres techniques de la LGEF en charge des sélections Aurélien Ferrari, Aurélien Soisson et Joël Heit, ont retenu un groupe de 18 joueurs dans le cadre de la sélection U16 qui disputera un match amical ce mercredi 18 octobre au centre de formation du Racing Club de Strasbourg Alsace, face à l’équipe locale.

Gardiens de buts : Artur Heinemann (FC Metz), Ylies Zitouni (Schiltigheim)
Défenseurs : Tom Maréchal (Schiltigheim), Ehsan Karki (Sedan), Brice Renoncourt (Sedan), Etienne Youte (Troyes), Mohamed Lakbi (Troyes), Nassim Amirdine (Epinal), Enzo Ribas (APM Metz)
Milieux : Hugo Lopez (Strasbourg), Sabru Durand (Strasbourg), Ibrahima Sy (Reims), Louwens Biassou (Troyes), Paul Bello (Epinal)
Attaquants : Axel Franke (Nancy), Nathanaël Mbuku (Reims), Rémy Michelutti (FC Metz), Benjamin Besic (SR Colmar)

Challenge Jean-Leroy, 22e édition

Le coup d’envoi du Challenge Jean-Leroy sera donné le 14 novembre prochain. Quarante-six sections sportives scolaires de second cycle (ici celle d’Epinal, finaliste la saison dernière – photo lgef.fff.fr), labellisées par la FFF, participeront à sa 22e édition. 

Sept sections sportives scolaires du Grand Est se lanceront dans l’aventure cette saison. Sur l’ensemble de la France, onze sites organiseront la phase préliminaire en novembre, dont un site unique dans le Grand Est à Nancy (poule 3). Quatre SSS de la région seront réunies sur ce dernier : Nancy, Epinal, Metz et Strasbourg. 

Les trois autres sections sportives se retrouveront chacune sur un site différent : la SSS de Reims a rendez-vous à Auxerre (poule 7), celle de Troyes jouera à Meaux (poule 8) et les lycéens mulhousiens seront opposés aux Franc-comtois, à Besançon (poule 9). 

Calendrier de la 22e édition :

  • Phase préliminaire : 14-15 novembre ou 21-22 novembre 2017 (le programme)
  • Phase qualificative : 23-24 janvier ou 30-31 janvier 2018
  • Phase finale : 28 et 29 mars 2018 au CNF de Clairefontaine

Les Bleues à Reims le 23 octobre !

L’Équipe de France Féminine continue sa préparation à la Coupe du Monde 2019 qui aura lieu en France du 7 juin au 7 juillet 2019. Les Bleues affronteront l’Angleterre, le vendredi 20 octobre à Valenciennes (21h) avant de se mesurer au Ghana, le lundi 23 octobre, au stade Auguste-Delaune de Reims (21h), l’une des villes-hôtes du prochain Mondial féminin.

Parmi les vingt-trois joueuses retenues par la sélectionneure Corinne Diacre, pour ces deux prochaines rencontres amicales, deux Champardennaises de naissance, la Châlonnaise Marion Torrent et la Sedanaise Élise Bussaglia (la sélection). Les Tricolores enchaîneront ensuite avec un déplacement en Allemagne, le 24 novembre, et la réception de la Suède, le 27 novembre.

Pour ce match France-Ghana, du 23 octobre prochain à Reims, deux possibilités pour se procurer des billets :

  • A tarifs préférentiels, avec ce bon de commande réservé aux licenciés de la LGEF (à renvoyer avec le chèque à : LGEF – 9 bis, Rue des Bons Malades – CS 20026 – 51726 Reims)
  • A tarifs normaux, via le service billetterie de la FFF : billetterie.fff.fr

Convention LGEF / Profession Sport et Loisirs

Dans la logique de structuration des clubs, la création d’un poste salarié peut apparaître comme une réponse à un besoin. C’est l’objectif de cette convention entre la LGEF et Profession Sport et Loisirs dans le Grand Est. Présentation avec Bernard Feldmann, directeur de Profession Sport et Loisirs…

Quel est l’objectif de cette convention ?
Bernard Feldmann : Nous avons l’expérience et la compétence dans l’accompagnement à la fonction employeur. Nous proposons de l’accompagnement administratif : rédaction du contrat de travail, fiches de paie, déclarations sociales, etc…et informons régulièrement les associations qui font appel à nos services. L’aide administrative proposée par Profession Sport est facturée 234€ par an et par salarié. Ce partenariat sera sans nul doute une plus-value qui saura être appréciée par les clubs de football.

Aujourd’hui, si le projet est là, se pose la question des finances…combien coûte l’emploi ?
Un emploi à temps plein que ce soit dans le domaine sportif, administratif ou autre, coûte environ 24 000€ annuels toutes charges comprises pour un salaire de 1350 euros net. Des solutions existent pour faire baisser le coût restant à charge : financement par les aides publiques liées au poste (aides ANS, aides Région) ; et surtout, la mutualisation : l’emploi partagé avec une ou plusieurs autres structures. Un exemple ? Une personne embauchée à temps plein qui va réaliser une mission d’accompagnement périscolaire pour la collectivité sur un mi-temps et des fonctions d’encadrement sportif pour le club de football sur l’autre moitié. Reste aussi la possibilité de l’emploi à temps partiel.

Le gouvernement a annoncé la fin des emplois aidés, que doivent faire les clubs qui en disposent actuellement ?
Aujourd’hui, il faut complètement oublier les aides liées à la personne (emploi aidé, emploi d’avenir, etc…). Ce type d’aide est voué à disparaître à court terme et l’emploi associatif sportif n’est absolument pas dans les priorités de l’État (les priorités sont l’urgence sociale, la sécurité et l’éducation). Si vous avez un emploi aidé de type CAE/CUI, l’aide est maintenue jusqu’à la fin de la période signée avec Pôle Emploi, mais elle ne sera probablement pas renouvelée, même si certains acteurs se mobilisent aujourd’hui pour changer la donne. Dans tous les cas je conseille aux clubs concernés de tout de même réaliser le bilan avec le salarié et de prendre contact avec le référent Pôle Emploi.

Que faut-il faire, en premier lieu, si on souhaite se lancer dans la démarche ? Prenez contact avec votre référent qui saura vous orienter : les contacts.

1 204 205 206 207 208 220