Il était une fois les Bleues

Le premier musée itinérant de l’équipe de France féminine vient de voir le jour (photo FFF). Il sera présent samedi et dimanche (10h-18h) salle René Tys à Reims, à quelques semaines du début de la Coupe du Monde.

L’exposition itinérante retrace près de 50 ans d’histoire. De 1970, date de la reconnaissance officielle par la FFF du football féminin, à 2019, date de la première Coupe du Monde en France. « L’objectif pour nous était de faire émerger cette histoire », explique Elisabeth Bougeard-Tournon, cheffe de projet. « Il faut se rappeler que le premier Euro a lieu en 1984, que la France participe à sa première Coupe du Monde en 2003 seulement. C’est une histoire finalement très récente ». Et c’est ce que dit cette exposition temporaire. Si la France a participé à trois éditions de la coupe du Monde non-officielle, elle a tardé ensuite à confirmer. Certes, des récompenses individuelles sont venues saluer des joueuses hors norme, mais les résultats collectifs ont tardé. D’ailleurs, si les équipes nationales de jeunes ont été maintes fois victorieuses, on attend encore le succès qui installe les Bleues au plus haut niveau.

« Les trophées des jeunes impressionnent le public qui vient, tout comme la zone des mannequins qui montrent l’évolution de l’équipement, mais ce qui trouve le plus de succès est la réalité virtuelle », explique Elisabeth Bougeard-Tournon. En effet, grâce à un casque, les spectateurs peuvent vivre en immersion un entraînement avec les Bleues à 360° comme s’ils étaient sur le terrain. L’exposition, qui propose aussi le « Hall of Femmes » du football féminin français (la meilleure équipe de tous les temps), sera visible (entrée libre) au complexe René Tys de Reims samedi et dimanche prochain de 10h à 18h. D’anciennes internationales seront présentes tout au long des deux jours. Un match de gala mixte est même prévu avec quelques anciennes internationales comme Laura Georges ou Elodie Thomis.

La visite du musée, c’est par ici :

Coupe Grand Est, les 8es de finale !

Le tirage au sort des 8es de finale de la Coupe du Grand Est a été effectué ce lundi à l’Intermarché de Ludres en Meurthe-et-Moselle (photo Jimmy Gedik). Les huit affiches se joueront durant le week-end des 30 et 31 mars prochains :

  • Pulnoy (R2) – Woippy (R3)
  • Blainville Damelevières (R3) – Sedan Torcy (R3)
  • Grand Couronné (R3) – Epernay (N3)
  • ESTAC Troyes 2 (N3) – Sézanne (R1)
  • Illkirch FAIG (R1) – Biesheim (N3)
  • Raon L’Etape (N3) – FC Mulhouse (N3)
  • St-Louis/Neuweg (N3) – Oberlauterbach (R1)
  • Fessenheim (R3) – Soleil Bischheim (R1)

Réaction du coach de Blainville Damelevières ci-dessous, Claude Gondrexon, après ce tirage au sort. Le petit mousquetaire affrontera Sedan Torcy à la fin du mois (propos recueillis par Jimmy Gedik)…

National 3 : dynamique inversée ?

Ce samedi (16h), c’est une rencontre importante qui oppose le dernier et l’avant dernier du classement, le RC Epernay (photo) se déplaçant sur le terrain du FC Saint Louis Neuweg. Un match déjà décisif pour le maintien ?

« On a pris autant de points en une semaine qu’en 6 mois !». Le constat du coach d’Épernay, Alexis Rouquette, peut prêter à sourire. Pourtant, avec deux défaites de rang dès la reprise, on pouvait s’attendre à ce que la deuxième partie de saison du club ressemble à la première (6 points en 13 matchs). Mais la lanterne rouge du classement a su se reprendre et gagner deux matchs consécutivement face à Raon l’Etape et Mulhouse : « tout le monde nous avait un peu enterrés. On s’est même mis à douter nous-même. Mais les deux dernières victoires que nous avons obtenues nous ont remis dedans, même si on reste loin des autres et de notre adversaire du jour. Sur les deux premiers matchs que nous avons perdus après la trêve j’avais senti mon équipe un peu mieux. J’avais apprécié le contenu mais le résultat n’était pas là. Et sur les deux derniers matchs on a été récompensé. On a l’impression que la réussite tourne en notre faveur en ce moment et j’espère que cela va durer. C’est encourageant ». Le match de ce week-end ? « Vu le nombre de points que nous avons pris depuis le début de la saison, tous les matchs sont maintenant importants. Mais c’est vrai qu’il faudra, au minimum, ne pas perdre ce samedi, car sinon on risque de voir St-Louis prendre le large » (les joueurs d’Alexis Rouquette se retrouveraient alors à 8 points de St-Louis). 

Le coach du FC Saint Louis Neuweg, Cédric Decker, est conscient de l’importance du match de ce week-end : « certes c’est un match important, car cela nous permettrait d’assurer des points d’avance en cas de victoire. Mais on voit bien que c’est un groupe très homogène, car on est à 5 points du 6e (le FC Agglo Troyenne avec 22 points) et on a 2 matchs en moins ». Mais il tient néanmoins à relativiser : « tous les matchs sont importants car si on gagne ce match et que l’on perd derrière ça ne sert à rien. C’est juste une autre étape importante ». Son équipe reste sur 2 mauvaises opérations face à des adversaires directs pour le maintien (défaite contre Pierrots Vauban et Raon l’Étape) : « on est dans un cycle un peu plus compliqué. Il va falloir prendre des points sur ce match et enchaîner de nouveau sur un bon cycle ».

Jimmy Gedik

Arbitrage à l’école…de la vie

Les sélections pour les sections sportives filière arbitrage dans le Grand Est se dérouleront le 18 avril à Epinal et le 30 avril à Metz et Strasbourg. Présentation d’une formation sport-études à part…

La section sportive arbitrage est apparue pour la première fois en 2008 à Epinal, avant de faire des émules en 2012 à Strasbourg et en 2016 à Metz. Cette formation est destinée à tous les jeunes arbitres homme ou femme (deux filles sont inscrites à Metz) qui ont l’âge d’entrer en 2nde, peu importe leur expérience dans l’arbitrage. Elle permet à des jeunes souhaitant concilier leur passion pour l’arbitrage et leurs études, de pouvoir suivre une formation de qualité dans leur filière (Générale, Technologique par exemple) en fonction de ce que propose le lycée hôte et de s’entraîner régulièrement pour s’améliorer en tant qu’arbitre. L’entrainement a lieu 4 fois par semaine à raison d’1h30 par jour, mêlant technique, tactique et physique. La formation accueille jusqu’à 10 élèves par site car selon Anthony Ustaritz (responsable des sites de Metz et Epinal) « il est important de privilégier la qualité à la quantité, pour avoir un vrai suivi qualitatif des progrès des jeunes ». Tout au long de leur formation, les arbitres seront amenés à arbitrer, en plus de leur parcours d’arbitre classique, des matchs d’UNSS ou de championnat universitaire afin de s’entraîner en condition réelle.

Pour intégrer la formation, il faut se présenter aux journées de sélections, où le candidat passera un entretien, un questionnaire et des tests d’arbitrage. Le plus important restant le dossier scolaire, car les sélectionnés sont «des jeunes qui ont la tête bien remplie, stables et qui sont passionnés par ce qu’ils font », explique Anthony Ustaritz. Il faut avant tout que les jeunes soient conscients que les études passent avant le sport d’ailleurs s’il le pouvait il changerait la dénomination « sport-études » en « études-sport » car il est important de montrer la priorité donnée à la formation scolaire.

L’objectif principal de la section sportive arbitrage est d’offrir à des élèves sérieux la possibilité de poursuivre leurs études secondaires tout en les plaçant dans des conditions optimales de formation à l’arbitrage, afin de leur permettre de progresser sans avoir à délaisser l’un ou l’autre. « C’est également sur le plan personnel que le développement se fait, les jeunes ont plus confiance en eux grâce à l’arbitrage, les longs déplacements et la vie de groupe au quotidien font qu’en sortant de la formation les jeunes ont grandi », confie Matthieu Lombard, responsable de la section à Strasbourg. La section sportive arbitrage forme des arbitres passionnés, « avant tout des Hommes avec un grand H », confie Anthony Ustaritz.

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Jérémy Picart

Coupe du Monde Féminine : les billets à l’unité !

Depuis ce jeudi (15h), il est possible d’acheter des billets à l’unité (à partir de 9 euros) pour les matchs de la prochaine Coupe du Monde Féminine en France, dont les six matchs programmés à Reims.

Pour acheter vos billets à l’unité, rendez-vous sur le site de la billetterie officielle de la FIFA.

Pour rappel, six matchs sont programmés à Reims :

La vidéo de promotion de Reims, ville hôte de la Coupe du Monde…

Coupe de France : une magie éphémère ?

« La Coupe de tous les possibles » peut rapidement prendre tout son sens. Après l’engouement médiatique et sportif suscité par un beau parcours, la plupart des clubs (ici Olympique Strasbourg) ont du mal à rebondir et peuvent même s’enfoncer dans la crise. Le retour à l’ordinaire est parfois compliqué.

« Lors de la reprise, un joueur m’a dit « on en a marre du foot ». Trop de foot tue le foot ». Les temps sont difficiles à l’Olympique Strasbourg (R2) et cela se ressent dans la voix du coach, Mohamed Khettab, qui a vécu il y a deux mois le rêve de tout club amateur : jouer face à une équipe professionnelle (défaite 6 à 0 contre l’ASSE en 32e de finale). « J’avais appréhendé le retour à la normal mais pas à ce point. Il faut l’avoir vécu pour savoir ce qui vous attend. Pendant les deux semaines avant le match, tout le monde était à fond : joueurs, dirigeants, même les supporters étaient présents à l’entraînement où il y avait 22 joueurs. Puis après, 90% ont lâché ». Depuis, les mauvais résultats s’enchaînent et les hommes de Khettab n’ont plus gagné depuis 5 matchs et n’ont plus trouvé le chemin des filets depuis 3 matchs. Le club vient même de perdre 6 à 0 contre la réserve de Haguenau à domicile ce week-end. « On était en surrégime émotionnel. C’est monté trop haut pour des joueurs de ce niveau. Au retour, il y a eu beaucoup de fatigue, de lassitude. Sur les matchs, on a perdu énormément en agressivité et parfois j’ai même l’impression que mes joueurs sont ailleurs. C’était beaucoup trop pour nous ».  

Stéphane Crucet, le coach de Schiltigheim (N2), avait souligné la difficulté de jouer sur plusieurs tableaux début décembre. Avait-il prédit par expérience ce qui allait se passer ? Car depuis la défaite de son équipe contre Dijon (1-3 en 32e de finale), c’est un renversement de situation total : 5 défaites consécutives en championnat, 13 buts encaissés en 5 matchs (sur les 15 premiers matchs, 12 buts encaissés), et une équipe qui change de statut : « on est passé d’une équipe qui jouait la montée à une équipe qui aujourd’hui se retrouve à 2 points de la relégation. La Coupe de France transcende les joueurs mais ensuite il y a une forme de relâchement, car ils se sentent supérieurs en retrouvant le championnat ». Allier objectif en championnat et objectif en Coupe est souvent délicat, et Schiltigheim en a sans doute fait les frais. Mais pas facile de choisir lorsqu’on traîne derrière soi l’histoire de quart de finale (en 2003 face à Rennes, défaite 2 à 1 devant 25 000 personnes au stade de la Meinau) et que l’on vise la montée en championnat : « l’année prochaine, il faudra se poser la question de savoir s’il faut passer outre la Coupe de France ».

Ces problèmes récurrents que connaissent presque tous les clubs après un beau parcours peuvent néanmoins être atténués. L’US Raon L’Étape (N3), club habitué de ces épopées magiques (éliminé en 32e de finales contre IC Croix, 2-0), a au fil des années emmagasiné de l’expérience par rapport à cette gestion post Coupe de France : « il faut se dire que l’après Coupe est toujours délicat, nous confie Faride Touileb, manager du club. Il faut que les joueurs soient matures afin d’accepter se basculement entre un match de Coupe médiatique devant plusieurs milliers de personnes et un match de championnat où le stade est presque vide. Et cette responsabilité en incombe surtout à l’encadrement, afin de faire en sorte que les joueurs reprennent vite la température du championnat. Il faut savoir dédramatiser l’événement. Mais même si nous avons de l’expérience, tout le monde dans le club a été marqué par l’élimination ».

Le coach de La Chapelle (R1), Mohamed Faty, avait les idées claires après la défaite de son équipe au 8e tour par le FC Aurillac (0-1) : « je ne voulais pas laisser traîner l’esprit de la Coupe de France trop longtemps. C’était très important de matérialiser cette rupture avec la Coupe pour passer à autre chose ». Pour cela, le coach a permis à ses joueurs de venir discuter avec lui : « j’ai dit aux joueurs qui voulaient me voir de venir exprimer leur frustration pour basculer sur autre chose dès la reprise ». Car c’est bien le facteur psychologique qui rentre en jeu dans la gestion de l’après Coupe : « il y a des joueurs frustrés. Certains n’ont pas pu jouer, d’autres n’ont pas pu faire partie de l’aventure. Je voulais leur donner une explication afin qu’ils puissent balayer ce petit truc qu’ils avaient dans la tête ». Et cela fonctionne, car le club n’a pas été impacté négativement par ce parcours : « pour l’instant ce n’est que du positif. Si on arrive à se maintenir je ne constaterai pas d’effet négatif, bien au contraire. Et puis il y a eu le week-end à Clairefontaine, qui est pour moi un événement fédérateur et ces moments de bonheur passés ensemble vont nous apporter dans la durée ».

Pour autant, certaines équipes dérogent a ce fatalisme. C’est le cas de la F.A Illkirch-Graffenstaden, éliminé au 8e tour contre Sochaux (0-2), et qui reste sur 4 victoires consécutives en championnat depuis son élimination. Les joueurs d’Amar Ferdjani, premier du groupe C de Régional1 (avec 7 points d’avance sur le deuxième), sont même bien engagés sur la voie d’obtenir l‘ascension en National 3…

Jimmy Gedik

Distinctions LGEF, promotion 2019

Dans le cadre de la valorisation du bénévolat, les clubs de la Ligue du Grand Est de Football peuvent honorer leurs membres, joueuses ou joueurs méritants (photo LGEF). Une seule médaille sera attribuée par club et par saison, toutes catégories confondues. 

Le formulaire de demande de distinction devra être envoyé dûment renseigné pour le 31 mars 2019 au plus tard, à l’une des adresses mail suivantes (les demandes reçues après cette date ne pourront pas être prises en compte pour la promotion 2019) :

CRITÈRES D’ATTRIBUTION DES DISTINCTIONS

Dirigeants de clubs (délai minimal de 5 ans entre l’attribution de deux distinctions) : 

  • Bronze : 10 ans
  • Argent : 15 ans
  • Or : 20 ans

Joueuse et joueur :

  • Avoir été licencié(e) pendant 15 années consécutives

NB : Les demandes de distinctions pour les arbitres sont du ressort des commissions d’arbitrage.

Match de préparation des sélections U15 Grand Est

Les sélections U15 Grand Est disputeront le mercredi 13 mars un match de préparation à Strasbourg. Retrouvez ici la liste des 38 joueurs sélectionnés.

Les conseillers techniques de la LGEF poursuivent leur travail en vue des interligues U15 prévus en avril. Les deux sélections U15 seront ainsi réunies à Strasbourg le mercredi 13 mars prochain pour des rencontres de préparation face aux U16 R1 et aux U15 Grand Est du RC Strasbourg Alsace. Les deux matchs auront lieu à 13h30, l’un à Hautepierre, l’autre sur le terrain d’Oberhausbergen.

Il s’agira de l’avant dernier test. Le prochain aura lieu le 3 avril prochain à Reims. Il faudra ensuite établir les listes définitives en vue des interligues prévues durant les congés scolaires de printemps à Reims et Granvillars.

Mondial féminin : Devenez bénévole à Reims !

En dehors du Programme Volontaires initié par la FIFA, la ville de Reims a besoin de vous pour accueillir et orienter les visiteurs et supporters lors des six matches de la Coupe du Monde Féminine au stade Auguste Delaune, en juin prochain (photo reims.fr). Une grande campagne de recrutement est donc en cours jusqu’au 31 mars.

Quelles seront les missions ?

  • Accueil en gares et transports en commun
  • Orientation supporters
  • Orientation du public vers les sites touristiques
  • Tenue d’un point d’informations
  • Village Animations

Comment postuler ?

  • Avoir 18 ans au 1er mai 2019
  • Être présent sur 3 matchs minimum
  • Remplir ce formulaire

#daretoshine #lemomentdebriller #fifawwc #france2019

National 3 : Déjà déterminant ?

Ce samedi aura lieu un match serré dans le cadre du Groupe F de National3. En effet, l’US Raon l’Etape accueille le RC Epernay, un concurrent direct pour le maintien, à 16h au Stade Paul Gasser.

C’est dans un contexte difficile que va se tenir le match de National 3 entre Raon l’Etape et Epernay, ce samedi. En effet, après un début de championnat compliqué, les deux équipes se retrouvent dans une situation où chaque point compte pour se maintenir à la fin de la saison. Et dans cette course au maintien c’est Raon l’Etape qui a pris une certaine avance, puisque la formation de Michael Grand se retrouve en 11e position après 15 journées de championnat. Pour la suite du championnat l’entraineur raonnais estime qu’il faut « assurer le maintien et que cela passe par des bons résultats sur les 10 matchs de championnat restants », il est également satisfait des dernières prestations de ses joueurs notamment les victoires en Coupe Grand Est contre Epinal 2 et en National 3 contre Saint-Louis et il est très important pour lui de confirmer cette bonne série et continuer sur cette dynamique.

La route est plus compliquée pour les Sparnaciens qui ne comptent que deux victoires et se retrouvent lanterne rouge du championnat. Mais ce n’est pas pour autant que les hommes d’Alexis Rouquette baissent les bras. En témoigne leur très belle prestation contre Mulhouse le week-end dernier et leur victoire 1-0 qui montre au reste des concurrents au maintien que malgré la situation actuelle, ils ne sont pas là pour faire de la figuration et se battront jusqu’à la dernière journée.  

Pour les deux coachs le constat reste en vu de ce match, le préparer le mieux possible et aller chercher ces 3 points qui seront capitaux. Pour Michael Grand ce match « est important mais ça ne sera pas un tournant dans la saison […] le plus important sera de tirer profits des 6 matchs qui restent à domicile » il ajoute également que ça sera un match « engagé avec une équipe d’Epernay qui va vouloir montrer aux autres qu’elle n’est pas morte ». Du côté d’Epernay, l’objectif sera de confirmer le bon résultat du week-end dernier et d’enchainer afin de se sortir au plus vite de cette situation compliquée. Quoi qu’il arrive, le Stade Paul Gasser sera le théâtre ce week-end d’un match qui se voudra déterminant pour les deux équipes et pour leur avenir dans un groupe F de National 3 qui n’a pas encore livré son verdict.

Jérémy Picart

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