Stage régional U15F, les joueuses convoquées

L’équipe technique régionale a programmé un stage régional de détection pour les U15F durant les vacances d’hiver, le mois prochain (photo LGEF). Celui-ci se déroulera du 19 au 21 février au Creps de Nancy : les 28 joueuses convoquées.

Ce stage régional sera encadré par Jérôme Beaulande, David Fanzel, Mélodie Goepp et Claire Lefèvre, l’objectif étant de détecter les joueuses qui auront le potentiel pour intégrer la sélection Grand Est U15F. A l’issue de ce stage, 18 joueuses seront retenues pour un match amical le 20 mars en Alsace, puis 16 joueuses composeront la sélection régionale pour disputer les Interligues à Liévin du 16 au 19 avril prochain.

Dans le prolongement de ces Interligues, certaines joueuses seront convoquées pour le concours du Pôle Espoirs Féminin Grand Est à Strasbourg et/ou convoquées pour le stage national U15F du 16 au 19 mai à Clairefontaine. Ce rassemblement sert de support à la sélection nationale U16F la saison suivante.

Formation : la communication au sein des clubs

L’Institut régional de formation du Football de la LGEF propose des séances de formation destinées aux responsables communication des clubs. Voilà le programme…

La communication est devenue un enjeu fondamentale de la gestion associative : communiquer oui mais pour quel public ? De quelle manière ? La communication constitue aussi un enjeu important pour permettre aux clubs de trouver des ressources nouvelles. Pour mieux appréhender ces questions, la LGEF et son institut de formation vous propose des sessions de formation qui sont prévues le lundi 28 janvier à Strasbourg (18h-22h), le lundi 11 février à Reims (18h-22h) et le mardi 12 février à Champigneulles (18h-22h). Elles s’adressent aux personnes en charge de la communication, des clubs mais aussi aux personnes qui souhaitent prendre en charge ces fonctions demain.

Pour participer, merci de remplir la fiche d’inscription.

La formation est gratuite grâce aux bons de formation.

Gambardella : Thionville veut y croire

Quatre équipes du Grand Est restent en lice pour les 32es de finale de la Coupe Gambardella – Crédit Agricole programmés ce dimanche (14h30). Elles seront face à face à Nancy et Thionville (photo). Tour d’horizon.

A priori, le match entre l’AS Nancy-Lorraine et Troyes s’annonce équilibré (dim.14h30 Parc des Sports Platini). Certes, les Nancéiens ne sont pas au mieux cette saison dans le championnat national U19 mais l’une de leurs rares victoires a été obtenue face à l’ESTAC en début de saison (3-2). Côté aubois, on n’oubliera pas que l’ESTAC est tout simplement le tenant du trophée. Gagner deux fois de rang la compétition est sans doute compliqué mais ce statut oblige forcément Carlos Lopez et ses joueurs.

Au même moment, le FC Thionville, pensionnaire ambitieux du championnat U19 R1, accueillera le Racing Club de Strasbourg sur le vieux terrain synthétique du Stade Jeanne d’Arc. Une pelouse artificielle vieillissante et qui sera d’ailleurs changée à l’automne prochain. « On a fait ce choix parce qu’on disposait d’une tribune et d’un lieu d’accueil pour le public, mais aussi parce qu’on pense que cela peut niveler les valeurs », indique Dorian Libert, le responsable technique du club mosellan.

D’ailleurs, Nadir Khelifa et ses joueurs se sont donnés tous les moyens de réaliser un possible exploit. La reprise a eu lieu le 1er janvier et le coach est passé à trois séances semaines. « On estime nos chances à environ 15% face à une équipe qui nous est largement supérieure, mais on veut les jouer à fond », poursuit Dorian Libert. Le FC Thionville bénéficiera d’un effectif au complet et espère l’appui de 3 à 400 personnes dans un deuxième week-end de janvier forcément pauvre en rencontres de football.

Coupes de France, les tirages

Les tirages au sort des 16es de finale de la Coupe de France et des 8es de finale de la Coupe de France féminine se sont tenus ce lundi soir au stade Pierre-Mauroy de Villeneuve-d’Ascq, dans les Hauts-de-France (photo Pierre Bougeois/fff.fr).  

En Coupe de France, ce sera compliqué pour les quatre derniers clubs du Grand Est encore en lice. L’AS Nancy-Lorraine recevra Guingamp, le FC Metz se rendra à Monaco, le Stade de Reims ira défier Toulouse, alors que Strasbourg, à condition de se débarrasser de Grenoble le 16 janvier, ira défier le PSG au Parc des Princes. Les matchs sont programmés les mardi 22 et mercredi 23 janvier (le tirage complet).

En Coupe de France Féminine, le tirage n’a pas non plus été clément avec les trois clubs du Grand Est rescapés. Le FC Metz (D1) sera à Fleury (D1), l’ESAP Metz (D2) sera à Lille (D1), alors que les Strasbourgeoises de l’ASP Vauban (D2) iront défier La Roche-sur-Yon (D2). Les matchs sont prévus les 26 et 27 janvier prochains (le tirage complet).

Coupe Nationale Futsal : le tirage au sort !

Le tirage au sort du dernier tour régional a été effectué ce matin par Aladin Klein, finaliste de la Coupe Nationale 2017 et joueur de Neuhof Futsal, et par les deux vice-présidents de la LGEF, Michel Keff et Francis Willig. Voici les matchs prévus le samedi 12 janvier (16h).

Kingersheim (D2) – Brunstatt (R1F)
Ottmarsheim (R1F) – Neuhof Futsal (D2) ou
Neuhof Futsal (D2) – AFJ Hautepierre (R1F) (le match Hautepierre – Ottmarsheim a lieu ce lundi soir)
Gérardmer (D) – Reims Métropole (D2)
Hombourg Avenir (D) – Pfastatt Futsal (D2)
Collectif Illzach (R1F) – Thierville (D)
Rosselange Vitry (D) – Raon L’Etape (D)

*D2 pour D2 nationale futsal, R1F pour régional1 spécifique et D pour District Futsal ou équipe de foot extérieur

Coupe de France : un quintet en fanfare !

On jouera ce dimanche les 16es de finale de la Coupe de France féminine. 5 clubs du Grand Est (ici Vauban en jaune, tombeur de St-Etienne) sont encore en lice. Un seul est d’ores et déjà certain d’être en 8e de finale. Pour les quatre autres tout est possible.

Deux matchs à domicile et trois matchs à l’extérieur pour les cinq clubs du Grand Est encore qualifiés. Avec un derby, deux matchs où il faudra imposer la logique et un autre où un exploit est attendu. Voici le menu détaillé des matchs de dimanche prochain (14h30). Commençons par le derby de l’agglomération strasbourgeoise entre Vendenheim et Vauban. Les deux équipes ont déjà croisé le fer cette saison en championnat et les Fédinoises s’étaient imposées (0-2) le 4 novembre dernier. Mais en décembre, Vauban s’est montré solide, très solide même, n’encaissant qu’une très courte défaite chez le leader de la D2, Yzeure (1-0), avant de sortir St-Etienne, 3e de la D2, aux tirs au but en Coupe de France. Bref, les Strasbourgeoises n’iront pas à Vendenheim en victime loin s’en faut.

Pour Reims, la donne est toute différente. Les Rémoises, leaders invaincues de leur groupe de D2, vont avoir l’occasion de se mesurer à une équipe de Soyaux habituée à la D1 où les Charentaises font figure d’équipe de milieu de tableau, solide et capable de coups à l’extérieur. Un vrai test pour les Rémoises qui comptent 10 points d’avance en championnat et filent vers la D1 en fin de saison.

Enfin ; les deux équipes messines seront dans le Sud. L’ESAP Metz (D2) rendra visite à l’Olympique Valence. Attention à cette solide équipe de la R1 Auvergne-Rhöne-Alpes qui tient tête la réserve de l’OL en championnat. Piège possible aussi pour les filles du FC Metz qui font leur entrée dans la compétition du côté d’Albi (5e de D2). Le FC Metz, qui avait connu un début de saison catastrophique (7 matchs-7 défaites), avait bien redressé la barre, avant de caler à nouveau en décembre (3défaites de rang), reste à savoir quel visage aura ce FC Metz de début 2019.

Coupe de France : Dijon, victime préférée ?

Schiltigheim (N2) accueillera Dijon (L1) samedi (18h) en 32ès de finale de la Coupe de France. Déséquilibrée a priori sur le papier, cette confrontation ne l’est peut-être pas tant que ça si les statistiques venaient à se répéter. Décryptage.

Bien entendu, dans l’idée de faire des pronostics, l’analyse statistique offre toujours ses limites. Car, c’est bien connu, les statistiques sont là pour être démenties. Néanmoins, l’examen minutieux du parcours du FCO Dijon en Coupe de France sur les vingt dernières années fait apparaître une tendance de fond : « Il est clair que sur ces dernières saisons la coupe ce n’est vraiment pas notre point fort » nous avoue le Colmarien Laurent Weber, entraineur des gardiens à Dijon depuis 6 ans. D’abord, le club bourguignon n’a atteint qu’une seule fois les demi-finales, en 2004 avec une défaite face à Châteauroux, alors que Dijon évoluait en… National.

Ensuite, Dijon n’aime pas le Grand Est. Six fois, les Dijonnais ont été éliminés par des clubs du Grand Est : le Racing Club de Strasbourg l’an dernier dès les 32es de finale, mais aussi Sarreguemines en 2015, Sedan en 2012 et 1999, Jarville en 2010 ou Mulhouse en 2004. Enfin, Dijon ne réussit pas bien face aux gros, mais pas plus face aux petits. Une fois sur deux, Dijon a été éliminé par une équipe amateur : outre Jarville, Sarreguemines ou Mulhouse, Montceau, Louhans, Concarneau, Bourg-Péronnas (alors en CFA) et même Versailles (DSR) ont fait chuter Dijon.
Et que dire du contexte actuel : Olivier Dall’Oglio démis de ses fonctions au moment de la reprise, le 31 décembre, avec une équipe confiée à son adjoint David Linarès, en attendant…Sans compter que Dijon doit donner la priorité au championnat dans un contexte sportif tendu. Après trois victoires de rang en août, qui ont fait des Dijonnais un éphémère leader du championnat, le FCO n’a plus gagné qu’une seule rencontre ensuite pour se retrouver barragiste pour le maintien.

Mais pour son premier retour en terre alsacienne depuis la défaite de la saison dernière contre Strasbourg, et malgré ces circonstances atténuantes, Weber reste très clair sur les intentions du club bourguignon pour ce 32es : « On va préparer ce match comme un match de championnat. C’est une nouvelle année qui commence, l’ensemble des joueurs et du staff sont mobilisés, assure-t-il. Nous ne ferons pas de cadeau, on va aligner la meilleure équipe possible avec l’ensemble des joueurs qu’on a à notre disposition ».

Une opportunité tout de même pour les protégés de Stéphane Crucet de renverser les pronostics ? Réponse sur le terrain samedi après-midi au Stade de l’Aar.

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Saint-Quentin : le piège à gros ?

Le FC Metz se rendra à Saint-Quentin (Aisne, tombeur de Prix-les-Mézières au tour précédent) samedi (18h) pour le compte des 32es de finale de la Coupe de France. Rien d’insurmontable sur le papier pour les Grenats qui avaient déjà fait le déplacement il y a près de vingt ans.

C’était le 12 février 2000. On jouait les 16es de finale de la Coupe de France et le FC Metz avait dû s’employer pour venir à bout d’une solide équipe picarde qui évoluait alors en CFA. Les Grenats avaient dû attendre la prolongation pour se qualifier (1-3 ap). Bernard Serin, le président messin, l’a dit : « on veut jouer la coupe à fond. On a l’effectif pour jouer sur les deux tableaux ». Le message à son équipe est clair. Le duo De Zerbi-Hognon qui a pris les choses en main en l’absence de Frédéric Antonetti, parti en Corse au chevet de son épouse malade, aura pour mission de poursuivre l’aventure.

Qu’est-ce qui attend les Messins à Saint-Quentin ? D’abord un club qui a connu durant deux saisons la Ligue2, au début des années 90. Un club picard, qui, pour l’anecdote, a vu dans ses effectifs passer un certain Jean-Marc Bosman, footballeur belge qui a donné son nom à un célèbre « arrêt » qui a promulgué la libre circulation des joueurs pros. Mais aussi un stade qui devrait abriter 3000 personnes, bien plus que les deux cent qui garnissent habituellement les travées de l’enceinte picarde malgré une équipe saint-quentinoise leader invaincue de son groupe de N3. Fabien Croze, ancien pro de Clermont et Orléans, ancien coach dans plusieurs clubs de CFA, ancien scout de Leicester ou de l’Espanyol Barcelone. Alors que le club s’était donné les moyens de retrouver le N2 depuis quatre ou cinq ans, c’est l’année où l’objectif est simplement de bien figurer que la montée semble tendre les bras aux Picards.

« Tout s’est bien goupillé pour nous en championnat, on est costaud et nos résultats le prouvent », explique Fabien Croze qui a réalisé un mixe entre des cadres trentenaires et des jeunes formés au club. « La Coupe, c’est le moment où tu peux réaliser un exploit face à des pros et Metz ça sonne bien. C’est le leader de la Ligue2, une belle équipe », une équipe que son adjoint David Desbonnes est d’ailleurs allé superviser à Valenciennes juste avant Noël. Rachid Mourabit le capitaine et ses coéquipiers auront surtout à cœur d’écrire une page d’histoire du club qui court après des heures glorieuses en Coupe de France qui datent d’il y a plus de soixante ans désormais.

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