N2 : Epinal en reconstruction offensive

Le Grand Est en National 2 (4/6). L’heure est à la reconstruction pour Epinal. Le club a vu l’ensemble de sa ligne offensive partir vers de nouveaux horizons. Le départ de profils prestigieux, comme celui de Jean-Philippe Krasso qui rejoint l’AS Saint-Etienne en Ligue 1, souligne le rôle de club « tremplin ». Décryptage avec le coach de l’équipe, Xavier Collin.

« Qualité ». Voilà le terme qui ressort le plus lorsque l’on échange avec Xavier Collin : il l’utilise à la fois pour décrire ses anciens joueurs, comme Mickaël Biron, parti pour l’AS Nancy-Lorraine (L2), et les nouveaux. Il ne tarit pas d’éloges : Kamel Bennekrouf, ancien des Hauts-Lyonnais (N3), a « une qualité technique au-dessus de la moyenne » ; Karim Achahbar, qui sort d’une saison blanche, est doté d’une « grosse qualité de frappe » ; Ismaël Noumansana, venu du Portugal, « fait preuve de beaucoup de générosité et de course ». Enfin, il souligne l’expérience de l’ex-Lavallois de 34 ans Grégory Gendrey, qui aura pour mission de « peser sur les défenses ». Il rappelle toutefois l’importance du groupe : « on s’appuie sur le collectif, notre force sera notre groupe et notre état d’esprit ».

Cette qualité, c’est celle de la formation d’Epinal : « on a l’image d’un club tremplin qui permet à des jeunes garçons de retrouver le monde professionnel », explique Xavier Collin. Ce dernier a une certaine part de responsabilité, récompensée cette saison par une formation très sélective au Brevet d’entraîneur professionnel de football (BEPF), qui lui permettra de former des équipes de Ligue 1 et 2. « C’est une formation très enrichissante qui va me permettre d’acquérir de nouvelles compétences, de progresser dans de nombreux domaines – c’est une formation riche et reconnue », détaille-t-il.

Lorsqu’on lui demande si la préparation avance bien, Xavier Collin reste modeste. « C’est en cours. Il faut continuer à travailler pour créer des automatismes entre les garçons » ; ces automatismes, ils semblent déjà bien développés : l’équipe s’est imposée 5-0 contre Raon-l’Etape (N3), le vendredi 14 août, et surtout 3-0 contre la réserve de Metz (N2) le lendemain, malgré une configuration différente. « On est un club ambitieux, on attend de ce groupe une grosse saison » conclut le technicien spinalien. Malgré cette nouvelle ligne offensive, l’équipe semble bien équipée pour « se mêler à la lutte », dès le 22 août à Belfort où Epinal connaît habituellement toujours des difficultés.

Guillaume Moinel

N2 : Haguenau face à la «crise»

Le Grand Est en National 2 (3/6). La crise sanitaire est également une crise économique. Les différents clubs de N2 ont, chacun à leur manière, dû s’adapter pour assurer la continuité des entraînements et des différentes prestations. Analyse de la situation avec Jean-Luc Kleinmann, le président du FR Haguenau.

Il y d’abord le constat. « Le club n’a pas pu réaliser un certain nombre de manifestations, d’où un vrai manque à gagner. Certains de nos partenaires privés sont eux-mêmes en difficulté. Nous faisons le choix de continuer notre relation avec eux, en espérant des jours meilleurs », explique Jean-Luc Kleinmann, le président du club qui s’attend néanmoins à une baisse globale de l’enveloppe sponsoring. D’ailleurs, le budget prévisionnel du club est passé de 700 à 500.000 euros. « Nous avons fait le choix de ne pas toucher au budget de la formation des jeunes, l’essentiel de l’économie se fera donc sur le budget de l’équipe qui évolue en National2 ».

Au départ, le FRH avait banni toute perspective de contrat fédéral cette saison, avant de faire l’une ou l’autre exception en s’adaptant à la situation sportive et économique. « On s’attend aussi à des surcoûts liés à la crise sanitaire, en équipements, au niveau des déplacements aussi. Rien ne sera simple », poursuit Kleinmann qui appelle à un modèle nouveau à imaginer pour les clubs du National2. « Nous ne disposons pas d’aide liées à la diffusion télé, il y a les aides fédérales, il y a eu les 10 euros par licence mais c’est globalement insuffisant. Il faut avoir une réflexion générale sur le sport amateur en France ».

 Malgré les difficultés, le président appelle à la cohésion : « la première des choses, c’est la santé de tout le monde, il faut suivre impérativement ce que disent les décideurs – que ce soit la loi ou la Fédération ». « Tout le monde doit changer de mode de fonctionnement » dit-il, en restant optimiste : « si tout le monde donne un peu de soi, ensemble, on peut y arriver ». Au plan sportif, Haguenau entamera sa saison ce samedi à 17h, face à la réserve de Lens, avec la ferme intention d’accrocher à nouveau le maintien…et dans le strict respect des consignes sanitaires.

Guillaume Moinel

N2 : Reims 2, préparation sur fond de crise

Le Grand Est en National 2 (2/6). Les clubs de N2 n’ont pas été épargnés par les dommages de la crise sanitaire. Comme tout le monde, ils ont été obligés de s’adapter, en mettant en place des mesures pour leurs joueurs, leur personnel et leur public. Zoom sur un cas un peu particulier, celui de l’équipe de réserve du Stade de Reims.

Malgré les difficultés, Yannick Menu, le directeur de la formation rémoise, est catégorique : « la direction offre toujours des conditions optimales pour le groupe de réserve ». De nombreuses mesures ont été mises en place dans les différents bâtiments du Stade de Reims : les désormais classiques gels hydroalcooliques, masques et discours préventifs sont disponibles partout, et le « port du masque est obligatoire dans l’ensemble du centre de vie ». Le club fait appel à la « responsabilité de chacun ». La directive phare, que le technicien souligne avec insistance, ce sont les « tests Covid » : l’ensemble des employés ont été testés, et les joueurs le sont également une fois par semaine en moyenne, avant les matchs notamment. Après une longue période de matchs à huis clos, le centre a été en partie réouvert au public le week-end dernier, avec le port du masque imposé et une distanciation sociale respectable.

La reprise de l’entraînement, il y a quelques semaines, ne pouvait pas ressembler à celle des autres années. Après une pause de quatre mois, les joueurs sont revenus avec beaucoup d’enthousiasme : le confinement a permis à certains de comprendre l’importance de l’activité. Le premier match ne s’est déroulé qu’une trentaine de jours après le retour à l’entraînement, alors qu’il ne fallait qu’une dizaine de jours auparavant. Ce fonctionnement semble efficace, aucun blessé n’étant à déplorer pour l’instant – « la crise a eu un vrai impact sur l’organisation de notre reprise, et elle va nous questionner sur le besoin de faire des reprises comme ça à chaque fois », explique Yannick Menu. Mais l’on comprend l’étrangeté de la situation : « il est trop tôt pour parler de changements sur le long terme, nous vivons avec cet état, qui est critique, et nous mettons tout en œuvre pour rester en activité ». L’équipe a l’avantage d’être portée, en partie, par sa grande sœur de Ligue 1. La réserve rémoise entamera sa saison samedi (18h) du côté de St-Maur Lusitanos.

Guillaume Moinel

N2 : Metz2, la prudence est de mise…

Le Grand Est en National2 (1/6). Après deux années marquées par la réussite – un titre en Régional1 avec 17 points d’avance en 2019, puis un autre en National3 en juin dernier avec cinq points – il est temps pour la réserve du FC Metz de s’attaquer au N2. Avec prudence. Echange avec Grégory Proment, le coach de l’équipe (photo LGEF).

L’heure est aux précautions pour la réserve de Metz. En effet, après avoir envoyé six joueurs à son équipe partenaire, le RFC Seraing, l’effectif est en partie renouvelé – l’’équipe est « plus jeune, moins mature », selon le coach. Cela a ses avantages, notamment lorsque l’on prend en compte la mission formatrice de l’équipe au bénéfice de sa grande sœur, qui évolue en Ligue 1. L’entraîneur explique qu’il « va falloir être performant beaucoup plus vite », ce qui est un atout, parce que le FC Metz « va gagner du temps pour amener des joueurs en professionnel ». En même temps, il y a des efforts à faire sur le mental : pour arriver au niveau de l’équipe première, « il faut absolument que les jeunes comprennent qu’il faut gagner, coûte que coûte ». « Le gros axe de travail pour passer en professionnel, c’est le mental, de pouvoir gérer ses émotions et la pression ».

Pour Grégory Proment, l’équipe est arrivée à sa juste place, celle où les réserves devraient évoluer. Il n’hésite toutefois pas à rappeler le niveau de la compétition, notant la chute en National 3 de la réserve de l’AS Saint-Etienne la saison dernière : s’il n’y a selon lui pas de gouffre entre le R1 et le N3, « il y a un grand écart entre le N3 et le N2 ». Il y aura des matchs difficiles : les joueurs l’ont compris ce samedi 15 août en perdant contre le SAS Epinal (3-0). Au-delà de cette erreur de parcours, les matchs amicaux ont été « cohérents », le coach étant « agréablement surpris ».

Mais il y a encore du travail à effectuer avant d’affronter l’AS Beauvais, ce samedi 22 août. Le principal objectif, c’est « de pouvoir voyager » : « l’assise défensive doit être performante pour prendre le moins de buts possible, pour qu’offensivement, il y ait le moins de buts à mettre ». Si les joueurs étaient habitués à avoir le ballon en National3, ils vont devoir apprendre à faire sans.

Guillaume Moinel

Victoria Beyer, une arbitre du Grand Est en finale !

Vous l’avez peut-être aperçue dans sa tenue orange et noire, lors de la finale de la 19e Coupe de France féminine. Victoria Beyer (2e en partant de la droite, photo FFF), 29 ans, l’une des huit bénéficiaires du plan de professionnalisation de l’arbitrage féminin lancé cette saison par la FFF, a arbitré, dimanche dernier, la rencontre opposant l’Olympique Lyonnais et le Paris Saint-Germain. Portrait.

L’Alsacienne, qui est fédérale féminine depuis juin 2016, n’a pas commencé par le football. Au début, c’était le basket : à l’âge de 13 ans, alors qu’elle jouait, elle ne supporta plus ce qu’elle appelle « l’esprit d’équipe féminin ». « Je voulais jouer au foot », explique-t-elle. « Mais la réalité m’a vite rattrapée : il fallait rejoindre une équipe de filles… Inconcevable pour moi ! Je me suis donc lancée dans l’arbitrage… Le fruit du hasard ». Ce pari a payé : arbitre internationale depuis janvier 2018, elle officie désormais aussi bien en France qu’à l’étranger. Le match du dimanche 9 août est une consécration : « Être désignée pour une finale, c’est une chance. Pour ma part, c’est la récompense du travail assidu et de la résilience dont je fais preuve depuis plusieurs années. C’est une fierté pour moi, mais aussi pour mes proches qui me soutiennent au quotidien ». Sa famille était dans les tribunes, mais tout le monde n’a pas pu être présent à cause de la crise sanitaire.

Comme pour nous tous, le début du confinement a été difficile : « Les deux premiers week-ends sans match, c’est le sentiment de manque qui domine. Et finalement, très vite on réapprend à prendre le temps, à profiter de ses proches et de chez soi ». Le football ne l’a pas quittée : les préparateurs athlétiques ont adapté leurs programmes d’entraînement, la DTA (Direction Technique de l’Arbitrage) a fait travailler les arbitres sur des situations de match une fois par semaine, et l’UEFA a organisé des visio-conférences pour « garder le lien ». Depuis la reprise, elle jongle entre, d’un côté, sa carrière dans une banque, où elle est chargée des affaires professionnelles, et, de l’autre, les entraînements, le suivi kiné, le travail technique et les rencontres. Cet emploi du temps, déjà chargé, sera encore alourdi à la rentrée, avec les stages spécifiques du plan de professionnalisation au Centre National du Football de Clairefontaine.

Lorsqu’on lui parle de la situation de l’arbitrage féminin dans la région, Victoria Beyer est catégorique : « Nous ne sommes pas encore assez nombreuses. La CRA (Commission Régionale d’Arbitrage) organise une fois par an un stage féminin dans le Grand Est, l’occasion pour nous de nous rencontrer et d’échanger ». Au-delà des arbitres à proprement parler, elle fait appel à toutes les filles qui souhaiteraient se lancer : « L’arbitrage, c’est l’école de la vie. On se forge un caractère, on s’adapte à toutes sortes de situations, on manage des hommes, on apaise les tensions, on prend des décisions, on trouve des solutions. On apprend à être rigoureux, organisé, et on développe son esprit critique pour savoir se remettre en question. Ce qu’on met en œuvre sur le terrain, on s’en sert dans notre quotidien. Alors mesdemoiselles, franchissez la barrière ! Prenez le sifflet, c’est sûr, vous allez faire un carton. »

Guillaume Moinel

Coupes nationales, engagez-vous !

Le futur retour à la compétition des clubs se prépare dès maintenant avec l’engagement dans les différentes compétitions. Découvrez ici les modalités et la plateforme d’engagement pour la Coupe de France Féminine et la Coupe Nationale Futsal.

COUPE DE FRANCE FEMININE

  • La période d’engagement de la Coupe de France Féminine s’étend du 20 mai au 15 août. Les clubs participant aux championnats de R1 et R2 Féminins ont l’obligation de participer à la Coupe de France Féminine.
  • Le règlement complet de la compétition est disponible ici.
  • L’inscription se déroule ici, sur Footclubs.

COUPE NATIONALE FUTSAL

  • La période d’engagement de la Coupe Nationale Futsal s’étend du 20 mai au 15 septembre. Les clubs participant aux championnats spécifiques Futsal ont l’obligation de participer à la Coupe Nationale Futsal.
  • Le règlement complet de la compétition est disponible ici.
  • L’inscription se déroule ici, sur Footclubs.

Pour toute demande liée à l’engagement dans les compétitions veuillez vous adresser à l’adresse suivante : compétitions@lgef.fff.fr.

Covid19 : des référents en référence

Depuis quelques semaines, Sophie Gervason, référente sanitaire de la LGEF, anime un réseau d’environ 300 référents sanitaire des clubs. La majorité assume pleinement sa mission avec certaines initiatives intéressantes.

On aurait eu du mal à l’imaginer il y a quelques mois encore. Mais la présence d’un référent sanitaire ou référent Covid est devenu presque une évidence au sein des clubs de football et les derniers réfractaires vont sans doute s’y mettre avant la rentrée. Ils sont la porte d’entrée privilégiée des informations liées à l’évolution de la pandémie et surtout à l’évolution de la réglementation sur la pratique sportive. « Quand je veux mettre en place une action, un protocole, je sollicite l’avis de la référente de la LGEF qui est très réactive », se réjouit Michel Mangeat, référent sanitaire du club de Blotzheim (Haut-Rhin). Par ailleurs secrétaire du club, il a élaboré un protocole d’accueil des spectateurs pour les matchs de préparation et mis en place les règles internes de fonctionnement. « C’est loin d’être simple, on fait le maximum mais on voit que d’autres ne s’encombrent pas ». Blotzheim est allé jusqu’à mettre une liste d’émargement pour les spectateurs afin de pouvoir opéré un « traçage » en cas de cas avéré. « Une personne qui a été dans le coma trois semaines en raison du Covid est venue me féliciter, ça m’a touché », raconte Michel Mangeat.

A l’Entente Sud 54, en Meurthe-et-Moselle, Christophe Renard est éducateur et référent sanitaire. Lui aussi assure le relais des messages des instances. « C’est compliqué et on sent une réticence de certains parents. Pour l’heure, nous n’avons que deux licenciés U6-U7. J’ai trois fois moins d’inscrits pour le stage de foot de la semaine prochaine. Pourtant, il faut repartir, les enfants ont besoin de retrouver de l’activité physique », explique Christophe Renard qui craint par-dessus tout un cas de Covid avéré dans son club. « On peut faire des choses, mettre en place des mesures, mais on est tous en permanence sous la menace ».

A Fagnières, dans la Marne, c’est Benoit Cochain, le président du club qui assume la fonction. « Je suis le premier responsable, il me paraissait évident que je sois aussi le référent sanitaire », estime celui qui, dans le « civil » est principal adjoint d’un collège. Il a rédigé un protocole très complet. « Nous avions fait le choix de différer la reprise pour nous donner du temps. Je sais qu’on bouscule les habitudes comme celle du port du masque en extérieur. La notion de lieu clos de plein air est mal comprise, mais il y va de notre responsabilité ». Pour Benoît Cochain, l’enjeu est simple : « nous sommes des lieux de vie, des lieux de socialisation et dans certains clubs comme le nôtre, cela constitue un élément fort de notre identité. Il faut tout faire pour poursuivre cette mission ».

Arbitrage du Grand Est, les affectations 2020/2021 !

La Commission Régionale d’Arbitrage a statué sur les affectations des arbitres de Ligue pour la saison 2020/2021, dans chaque catégorie : affectations arbitres LGEF.

Les présentes décisions sont susceptibles d’appel devant la Commission d’Appel Régionale dans un délai de 7 jours à compter du lendemain de leur notification ou publication, par envoi en recommandé à : LGEF – CS 80019 – 54250 Champigneulles Cedex ou à l’adresse électronique : appel@lgef.fff.fr, selon les dispositions et les conditions de forme prévues à l’article 190 des Règlements Généraux de la FFF.

📷 Nicolas Grandidier

Accessions N3 : à vous de choisir !

La LGEF a décidé cette saison de proposer aux clubs de Régional1 de choisir eux-mêmes la formule à retenir pour définir les accédants en fin de saison. Explications.

C’est une première dans le Grand Est. Les clubs de Régional1 sont invités, depuis le début de la semaine, à se prononcer sur les modalités de désignation des accédants en National3 au terme de la saison, le tout à travers un sondage en ligne. Sondage dont le résultat sera entériné par le comité directeur de la Ligue le 26 août prochain.

Pour rappel, suite à l’arrêt anticipé de la saison, suite aux incertitudes pesant sur le déroulement de la prochaine saison, il a été décidé de partir sur 4 groupes de douze équipes. Seulement voilà, seules trois équipes pourront accéder en National3 au terme de l’exercice. Il convenait donc de définir les modalités de désignation de ces trois formations. Deux formules sont proposées aux clubs de Régional1 et les deux ne concerneront que les équipes ayant terminé à la première place des groupes A, B, C et D (ou le suivant si le premier n’est pas en mesure réglementairement d’accéder).

La première est celle de matchs aller-retour, disputés mercredi-dimanche, après tirage au sort intégral. Les deux vainqueurs des premières confrontations accèdent en N3, les deux battus se retrouvent pour une « finale » aller retour dont seul le vainqueur se retrouvera en National3. La « Formule B » propose elle un mini-championnat à quatre, chacun jouant un match sec face aux trois autres formations, mais sur terrain neutre. Les trois classés premiers de ce mini-championnat se retrouveraient en National3 la saison suivante. Les clubs ont jusqu’au 21 août minuit par club et un seul vote sera retenu pour chacune des 48 équipes participant au championnat.

Coupe Gambardella, les affiches du 1er tour !

Suite au tirage au sort effectué par le Pôle Coupes de la Commission Régionale des Compétitions, la LGEF communique ce mercredi les 88 rencontres du 1er tour de la Coupe Gambardella – Crédit Agricole, édition 2020/2021, qui se joueront le 5 septembre prochain.

Les rencontres ont été programmées par défaut au samedi 5 septembre 2020 à 16h. Il est bien entendu possible de modifier le jour ou l’horaire de la rencontre avec accord du club adverse, selon la procédure Footclubs.

Si vous souhaitez communiquer autour de votre match, le logo de la compétition, en différentes versions, est disponible en libre téléchargement sur la plateforme de « Service aux clubs » actifoot.fr (s’enregistrer ou créer son compte « Actifoot » gratuitement pour accéder aux ressources graphiques). Rendez-vous sur actifoot.fr en rubrique « Ressources ».

📷 Antonio Mesa/fff.fr

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