« Service aux clubs », autour de l’emploi et du BMF

Ce lundi 23 avril s’est déroulée une réunion « service aux clubs » sur le thème de l’emploi et du Brevet Moniteur Football (BMF) à Reims (photo Elodie Sainte). Plus d’une quinzaine de clubs des alentours étaient présents pour bénéficier des informations pratiques données par la Mission Locale et Profession Sport et Loisirs de la Marne.

Le principe est simple, aider les clubs champardennais et les futurs apprentis à se professionnaliser en les accompagnant tout le long du projet. « Avant ce n’était pas notre fer de lance en Champagne-Ardenne, mais cette notion est devenue importante depuis la fusion du Grand Est. Cette pratique est présente depuis un moment en Alsace et elle fonctionne, alors on la reprend à l’échelle du Grand Est » explique Georges Ceccaldi, secrétaire général de la LGEF.

BMF en apprentissage

C’est Fabrice Villière (directeur technique régional adjoint de la LGEF en charge des formations) qui entame la réunion en expliquant le rôle du moniteur de football et le niveau d’étude qu’apporte ce BMF. « Tous les clubs voulant se professionnaliser peuvent être aidés dans cette démarche. Evidemment, les clubs peuvent demander des devis personnalisés pour obtenir un apprenti. Le profil de l’apprenti est celui d’une personne autonome et en capacité de construire un projet. Ce nouvel employé doit être accompagné d’un maître d’apprentissage ayant le même diplôme ou un diplôme d’expérience associative supérieure à celui de l’apprenti. L’accueil de l’apprenti, et donc du nouveau salarié, nécessite de définir le cadre de travail dès le début de la formation. Le foot attire et se professionnalise de plus en plus. Pour intégrer cette formation, les futurs apprentis (filles et garçons) devront passer deux tests. Le premier test est un examen écrit concernant la culture générale du candidat et ses capacités rédactionnelles. Le second test est un examen oral basé sur ses motivations. Le candidat ou la candidate, doit avoir 18 ans minimum et avoir une licence FFF » (F.Villière).

Les clubs pourront trouver prochainement tous les documents concernant cette formation sur le site de la LGEF. Pour les clubs n’ayant pas encore de jeunes souhaitant devenir apprentis au sein de leur structure, la LGEF possède des candidatures qui seraient susceptibles de correspondre aux demandes. Cependant, trouver la bonne personne n’est pas simple, d’où la présence de la Mission Locale à cette réunion d’informations.

La Mission Locale au service des jeunes et des clubs

Youssoufou Diakite, représentant de la Mission Locale de Reims, accompagne les jeunes entre 16 et 25 ans en reconversion professionnelle ou en difficulté d’insertion professionnelle. Il était présent lors de cette réunion pour parler des possibilités qu’offre cette structure aux clubs. « La Mission Locale étant rattachée au Service Public de l’Emploi, c’est en toute logique que nous nous sommes rapprochés de la LGEF afin d’aider les clubs sans candidat pour le BMF et/ou en proposant des contrats CEC, contrat emploi compétence, aux jeunes et aux clubs de football. La Mission Locale conseille les jeunes et les prépare au marché du travail au sein de la LGEF » (Y.Diakite).

Profession Sport et Loisirs, une structure d’accompagnement

Professionnaliser un club peut être compliqué, notamment dans le domaine administratif. Guillaume Renaudin, représentant de Profession Sport et Loisirs, était là pour expliquer aux clubs qu’ils peuvent être accompagnés dans cette démarche. « Profession Sport et Loisirs propose aux clubs des informations sur le droit du travail, sur la gestion salariale avec le logiciel de l’URSSAF (fiche de paye, attestations de salaires, impôts) et un accompagnement technique. « Il s’agit pour nous de vous retirer ce poids administratif qui pourrait vous freiner » (G.Renaudin). Tout est pensé pour que les clubs se lancent avec bienveillance dans une expérience professionnelle et la Ligue du Grand Est en est l’élément moteur, dans le cadre de son projet de « service aux clubs ».

Elodie Sainte

Communiqué officiel – match Vitry – FCO Chalons U19

Vous trouverez ci-après un communiqué officiel de la Ligue Grand Est de Football au sujet du match U19 PH qui devait opposer samedi prochain les équipes de Vitry et du FCO Chalons :

A la suite d’une réunion de sécurité avec l’ensemble des autorités compétentes, à la suite de deux réunions qui se sont tenues dans les clubs de Vitry et Chalons, la commission des compétitions LGEF a décidé, estimant que toutes les conditions de sérénité n’étaient pas réunies, de remettre la rencontre de championnat U19 PH groupe B prévue ce samedi 28 avril à une date ultérieure, conformément aux recommandations des autorités préfectorales. Des incidents graves avaient émaillé la rencontre de coupe du District de la Marne ayant opposé ces deux équipes le lundi 2 avril dernier. Cette rencontre de championnat aura bien lieu dès qu’un climat apaisé le rendra possible.

Une promotion 2004 en évolution

Un peu en difficulté sur le plan sportif au départ, la génération 2004 montre depuis quelques mois de réels progrès et à tour de rôle, les jeunes concrétisent la suite de leur parcours de formation en s’engageant avec des centres de clubs professionnels.

Après avoir enregistré la signature d’Alexis CASADEÏ (FC Mulhouse) au RC Strasbourg Alsace et celle de Grigor ALEKSANIAN (SC Schiltigheim) au FC Metz, ce sont le défenseur alsacien Yohan DUMAY (photo avec le papa et le responsable de la cellule de recrutement du Racing, Pascal DROELHNE) et l’attaquant du FC Mulhouse Habib DIARRA qui viennent de s’engager avec RC Strasbourg Alsace.

Entre les garçons actuellement licenciés en club professionnel et ceux actuellement convoités (Igor BOUR, Eliott LABETH…) la promotion 2004 devrait donner satisfaction en termes d’efficacité.

Bourse aux projets – les clubs lauréats

Parmi les 130 projets présentés sur l’ensemble du Grand Est, 22 ont été sélectionnés parmi les 6 thématiques proposées ou dans le cadre de « prix spéciaux » décernés par la Ligue du Grand Est. Tour d’horizon.

« Foot pour tous », pour marquer l’effort d’intégration de certains clubs à des personnes en difficulté, « solidarité » pour raconter comment le football peut se mobiliser au profit de belles causes, « foot citoyen », lorsqu’il s’agit de mettre en avant des valeurs universelles, « éco foot », « Foot santé » pour saleur des actions de prévention ou encore « Foot passion », voilà les thématiques dans lesquelles les clubs du Grand Est pouvaient placer leurs projets. 130 au total sont remontés à la LGEF qui a dû s’employer pour affiner une sélection finale qui épouse le plus justement possible le contour des initiatives locales de clubs situés à tous les niveaux de compétition.

Hagenbach-Balschwiller, en Alsace, va organiser 24 heures de foot en cette fin de saison, un match unique qui sera ouvert à tous….L’AS Mohrange, en Moselle, a organisé une journée « culture foot » qui a réuni les jeunes du club, les parents, les dirigeants autour de questionnaires sur la «culture foot» au sens large….L’US Bazeilles, dans les Ardennes organise la semaine prochaine, un stage de foot autour des valeurs de la solidarité et du partage où les participants viendront offrir des vêtements de sports, des chaussures de foot…Autant d’exemples de ce que les clubs de football mettent en place dans le Grand Est et, pour certains, depuis longtemps déjà.

On retrouve également dans les projets récompensés 2 « Coup de Cœur LGEF » qui visent à récompenser des clubs qui multiplient les initiatives sans privilégier une thématique en particulier. Sans oublier le « Trophée d’Honneur » qui sera remis au SAS Epinal pour la qualité de son projet club et la manière dont le club vosgien parvient à allier les exigences du foot à haut niveau avec le désir fort d’être un club citoyen dont l’objectif est avant tout de contribuer aussi à l’éducation de ses jeunes joueurs.

Tous les clubs lauréats, mais tous les autres également, sont invités à la remise des prix qui se déroulera le vendredi 11 mai à la Maison Régionale des Sports de Tomblaine (17h).

National3 : Et maintenant ?

Le sprint final est lancé en National3 (ici Sarre-Union – Haguenau ce mercredi – photo Laurent Krajewski) et une tendance émerge enfin, en bas comme en haut, et c’est désormais en milieu de tableau que l’on se met à trembler. Explications.

Trois matchs en retard se jouaient ce mercredi. Trois matchs dont les résultats ont confirmé les tendances en cours. Il reste cinq journées complètes, même si une majorité de clubs doit encore disputer un match en retard, voire deux comme Epernay. En attendant, Haguenau a confirmé sa forme actuelle en allant s’imposer à Sarre-Union, prenant au passage les commandes. Sarreguemines, vainqueur de Lunéville (1-0) mercredi, termine sa saison en boulet de canon et revient à cinq longueurs. Cela tombe plutôt bien, les deux équipes seront face à face au Parc des Sports de Haguenau samedi (16h) pour ce qu’on pourrait bien qualifier de « match charnière ». Enfin, la réserve de Strasbourg s’est elle aussi imposée face à Erstein, confirmant aussi sa forme actuelle.

Et puis, il ya les dynamiques négatives. Lunéville a perdu six de ses neuf derniers matchs et l’ancien leader du début de saison glisse dangereusement vers le bas du classement. Pas mieux pour Sarre-Union. Le 10 mars : victoire à Mulhouse qui met le club d’Alsace Bossue au sommet et depuis…plus rien ou presque. Six matchs, un nul pour cinq défaites. Là aussi, ça tombe bien, les deux équipes seront face à face ce samedi à Sarre-Union. Le vaincu éventuel aura du souci à se faire dans cette fin de saison.

Mais, quoi qu’il arrive, dans ce championnat de National 3 à six descentes potentielles impossible de terminer la saison en roue libre. Si pour Erstein, Pagny-sur-Moselle et Trémery, le maintien semble compliqué à aller chercher, la bataille fera rage jusqu’au bout entre six, sept, voire huit équipes qui chercheront à éviter la relégation (à suivre notamment un intéressant Amnéville – Epernay samedi). D’autant que la situation des clubs du Grand Est reste précaire en National2. La réserve de Reims et St-Louis/Neuweg sont loin d’être sauvés.

LE PROGRAMME COMPLET DE LA 26E JOURNEE

Mondial 2018, les modalités de retransmission

Face aux interrogations légitimes des clubs qui souhaitent organiser des animations autour de cet évènement, voici un condensé, à titre indicatif, des modalités de retransmission publique d’un ou plusieurs matches de la Coupe du Monde 2018 (photo Philippe Bergdolt). Il convient de se reporter au programme de retransmission publique élaboré par la FIFA et respecter les règles édictées par cette dernière.

Compte-tenu de la lourdeur du dossier à constituer et des formalités afférentes, il est recommandé d’appliquer la réglementation FIFA, uniquement lorsque l’enjeu ou l’évènement en valent la peine. Si un club organise une soirée avec quelques licenciés pour regarder ensemble un match, sans aucun droit d’entrée, inutile de se lancer dans cette démarche.

La FIFA opère une distinction entre les Evènements commerciaux de retransmission en Public, les Evènements Non Commerciaux Spéciaux de Retransmission en Public et les Evènements non commerciaux de Retransmission en Public. Les clubs sont invités à se reporter au « Règlement de la FIFA applicable aux évènements de retransmission en public », afin de déterminer à quelle catégorie l’Evènement appartient.

Les Evènements non commerciaux de Retransmission en Public ne requièrent pas l’obtention d’une licence. Toutefois, il conviendra tout de même de respecter les règles édictées par la FIFA dans son Règlement.

Les Evènements non commerciaux spéciaux (+ de 5000 spectateurs) de Retransmission en Public et les Evènements commerciaux de Retransmission en Public nécessitent l’obtention d’une licence. Toutefois, seuls les Evènements Commerciaux de Retransmission en Public sont sujets au paiement des frais de licence.

Les frais de licence seront calculés sur la base de la capacité d’accueil des spectateurs. Voici à titre indicatif les montants demandés par la FIFA en dollars (il est possible de demander une seule licence valable pour plusieurs emplacements. Dans un tel cas, le droit de licence global sera calculé en additionnant le coût applicable par emplacement distinct) :

En outre, la FIFA impose certaines règles quant à la diffusion des matches à proprement parler :

  • Obligation d’utiliser le signal de diffusion officiel désigné par la FIFA. L’obtention de ce signal se fera à vos frais
  • Pas de différés ni de rediffusions des retransmissions
  • Obligation de retransmettre le match dans son intégralité, sans modifications ni changements
  • Interdiction de masquer ou remplacer les éléments des sponsors de la FIFA (visibles lors des retransmissions)

En outre, il est interdit d’utiliser les logos/marques de la FIFA et/ou de la Coupe du Monde 2018. Toutefois, il vous est permis d’utiliser le titre de l’évènement (« Coupe du monde de la FIFA 2018 TM ») dans une police standard afin de pouvoir communiquer, auprès du public, l’heure, la date et le lieu de la retransmission.

Il est possible de vendre ou d’autoriser la vente de nourriture, boissons durant la retransmission d’un match dans les conditions prévues à l’article 10 du règlement FIFA.

L’attribution de droits de sponsoring est extrêmement limitée ; les clubs sont invités à consulter plus particulièrement l’article 9 du Règlement FIFA.

Enfin, il faudra impérativement souscrire une assurance de responsabilité civile pour couvrir les éventuels dommages qui pourraient survenir au cours de la diffusion.

Si vous avez des questions particulières, vous pouvez contacter la FIFA par courrier électronique à tv@fifa.org. De même, vous pouvez contacter Aline Rodrigues à l’adresse suivante : aline.rodrigues@fifa.org.

Les liens utiles :

Il est rappelé également que les organisateurs doivent solliciter l’autorisation des autorités compétentes et de la Sacem, ainsi que payer les tarifs Sacem et Spré, en cas de retransmission publique des matchs (les tarifs SACEM et Spré).

A titre d’information, la Spré est la Société pour la Perception de la Rémunération Equitable. Les diffusions de musique enregistrée sont assujetties à la rémunération équitable due à la Spré (qui a chargé la Sacem d’en assurer la collecte) au bénéfice des artistes interprètes et producteurs de disques. Le paiement de la Rémunération Equitable est donc obligatoire, au même titre que les droits d’auteur versés à la Sacem (+ d’infos sur www.spre.fr).

« Comme des garçons », 50 ans après !

La sortie du film « Comme des garçons », dont le lancement officiel a eu lieu ce mardi 17 avril à Reims, est l’occasion pour les pionnières du foot féminin et Julien Hallard, le réalisateur du film, de revenir sur un parcours sportif incroyable effectué par des femmes dans le milieu footballistique. Rencontre avec les pionnières et l’équipe du film (photo Elodie Sainte).

Si le foot était auparavant un sport d’hommes il s’est largement ouvert aux femmes depuis les années 1960. Un sport qui s’est féminisé dans plusieurs pays européens avant de se développer en France en terre rémoise. Le film « Comme des garçons » de Julien Hallard (sortie le 25 avril 2018) raconte l’histoire de cette ouverture d’esprit. Un droit pour les femmes qui a été compliqué à obtenir, mais encouragé par un homme Pierre Geoffroy alias Paul Coutard dans le film. Ce journaliste de l’Union (alias le Champenois) se charge de la kermesse de son entreprise avec l’idée de faire jouer des femmes. Richard Gaud, alias Doudoune, a soutenu Pierre Geoffroy dans cette action et était avec les journalistes le lundi 16 avril dernier. Même si le film est romancé, c’est avec une émotion particulière qu’il nous a parlé de Pierre Geoffroy décédé en 1993. « Pierre était un très bon journaliste, direct et droit dans ses bottes. Lui et le président du Stade De Reims ont travaillé ensemble pour accueillir les féminines au sein du club rémois. D’ailleurs, il a profité de son poste pour écrire beaucoup à mon goût pour l’époque sur les féminines. Quand il écrivait des articles sur elles, on avait l’impression qu’elles étaient en coupe du monde excepté qu’elles débutaient » (rires).

Les exploits footballistiques des pionnières tombés aux oubliettes

Julien Hallard, le réalisateur, explique qu’il était « important de parler de ces pionnières qui ont fait quelque chose d’incroyable, elles ont été 5 fois championnes de France dans les années 1970 et c’est tombé aux oubliettes. Mon film est plus une comédie romantique derrière laquelle je me suis caché plutôt qu’un documentaire, d’où le changement des noms, le désordre chronologique des faits, le côté « tête à claque » de Paul Coutard joué par Max Boublil ou encore, l’histoire d’amour entre le journaliste et une joueuse ».

Pour Michèle Monier, Gigi Souef et Isabelle Musset, les pionnières de Reims, l’aventure commence avec le recrutement par annonce dans l’Union de femmes footballeuses parue en juillet 1968. Michèle Monier se souvient de sa réaction en découvrant l’annonce : « Je vais enfin pouvoir jouer au foot avec des filles plutôt qu’avec des mecs voilà ! (rires) Il faut y aller. Il y avait 30 km à faire, je les ai faits et j’ai fait du foot. Ma mère m’a demandé ce que j’allais faire à Reims. Je lui ai dit du foot. Elle m’a dit tu es folle. J’étais tellement folle que ça a duré jusqu’en 1975 ». Isabelle Musset ajoute que la création du foot féminin et d’une section féminine à Reims « nous a permis de nous émanciper, car Pierre Geoffroy nous trouvait du travail à côté du foot pour que l’on puisse mener une carrière à Reims. On s’est construite autour d’un projet collectif et d’un objectif sportif ». Gigi Souef se rappelle des voyages. « Grâce à Pierre on a fait le tour du monde, on a fait des matchs dans beaucoup de pays. Ça a enrichi notre culture ».

Le film ambitionne d’être, à son échelle, un moteur essentiel du développement de ce sport dans le milieu féminin et c’est cela que les pionnières retiennent même si certains personnages sont caricaturés. « C’est sûr que ce film va faire rire pas mal de gens, mais je dis à partir du moment où on parle du football féminin c’est bien pour les filles d’aujourd’hui. Pour nous c’est fini, nous sommes à la retraite mais pour les jeunes qui arrivent c’est bien parce que beaucoup de gens iront voir le film. En plus l’année prochaine c’est la Coupe du Monde, et ça on la veut, on veut la gagner ! », ajoute Michèle Monier. Le film peut être un déclic pour des jeunes filles même si « aujourd’hui il est plus percutant que s’il avait été fait sur le hand ou le basket féminin. Les médias s’intéressent aux footballeuses, car elles sont maintenant érotisées. Les gens se disent elles jouent bien et en plus elles sont belles. C’est contestable, mais c’est mon point de vue », raconte Isabelle Musset.

50 ans après le lancement de la première section féminine, du chemin reste à parcourir pour la féminisation du football. Une féminisation que la Fédération Française de Football tente de diffuser sur son territoire aussi bien sur les terrains, qu’aux postes d’éducatrices entre autres. Aujourd’hui plus de 16.000 filles/femmes sont licenciées dans la région Grand Est, plus de 120 femmes ont le diplôme d’éducatrice ou le diplôme fédéral, presque une centaine de femmes sont arbitres et enfin, c’est environ 5000 femmes qui sont bénévoles dans le milieu du football. De quoi encourager les filles à intégrer les clubs de foot hors et sur les terrains…Alors mesdemoiselles, à vos crampons !

Elodie Sainte

La bande annonce du film (sortie nationale le 25 avril) :

Interligues U15 Elite, les joueurs convoqués

La sélection Grand Est (photo Sébastien Grosse) disputera les Interligues U15 Elite qui se dérouleront du 24 avril au 27 avril prochain à l’Arena de Liévin (stade couvert). L’équipe technique régionale a retenu 16 joueurs, issus des trois territoires, pour y participer : les joueurs convoqués.

L’encadrement sera assuré par Cyrille Jehl (CTR), Raphaël Livramento et Samuel Ipas. L’arbitrage du Grand Est y sera également représenté, avec le jeune arbitre de ligue William Storck (FC Obermodern, Alsace).

Interligues U15 Avenir

Liste des joueurs retenus aux interligues U15 Avenir qui se dérouleront du 24 au 27 avril 2018 au CREPS PACA d’Aix en Provence.

Les joueurs ont été convoqués au CREPS de NANCY le 22 avril 2018 pour 17 H 00 – Le retour de la délégation est prévue le 28 avril 2018.

L’encadrement sera assuré par M. Joël HEIT CTR responsable et Messieurs Yannick ANDRIVET et Franck VAUTRIN.

1 170 171 172 173 174 203