Coupe de France : Dijon, victime préférée ?

Schiltigheim (N2) accueillera Dijon (L1) samedi (18h) en 32ès de finale de la Coupe de France. Déséquilibrée a priori sur le papier, cette confrontation ne l’est peut-être pas tant que ça si les statistiques venaient à se répéter. Décryptage.

Bien entendu, dans l’idée de faire des pronostics, l’analyse statistique offre toujours ses limites. Car, c’est bien connu, les statistiques sont là pour être démenties. Néanmoins, l’examen minutieux du parcours du FCO Dijon en Coupe de France sur les vingt dernières années fait apparaître une tendance de fond : « Il est clair que sur ces dernières saisons la coupe ce n’est vraiment pas notre point fort » nous avoue le Colmarien Laurent Weber, entraineur des gardiens à Dijon depuis 6 ans. D’abord, le club bourguignon n’a atteint qu’une seule fois les demi-finales, en 2004 avec une défaite face à Châteauroux, alors que Dijon évoluait en… National.

Ensuite, Dijon n’aime pas le Grand Est. Six fois, les Dijonnais ont été éliminés par des clubs du Grand Est : le Racing Club de Strasbourg l’an dernier dès les 32es de finale, mais aussi Sarreguemines en 2015, Sedan en 2012 et 1999, Jarville en 2010 ou Mulhouse en 2004. Enfin, Dijon ne réussit pas bien face aux gros, mais pas plus face aux petits. Une fois sur deux, Dijon a été éliminé par une équipe amateur : outre Jarville, Sarreguemines ou Mulhouse, Montceau, Louhans, Concarneau, Bourg-Péronnas (alors en CFA) et même Versailles (DSR) ont fait chuter Dijon.
Et que dire du contexte actuel : Olivier Dall’Oglio démis de ses fonctions au moment de la reprise, le 31 décembre, avec une équipe confiée à son adjoint David Linarès, en attendant…Sans compter que Dijon doit donner la priorité au championnat dans un contexte sportif tendu. Après trois victoires de rang en août, qui ont fait des Dijonnais un éphémère leader du championnat, le FCO n’a plus gagné qu’une seule rencontre ensuite pour se retrouver barragiste pour le maintien.

Mais pour son premier retour en terre alsacienne depuis la défaite de la saison dernière contre Strasbourg, et malgré ces circonstances atténuantes, Weber reste très clair sur les intentions du club bourguignon pour ce 32es : « On va préparer ce match comme un match de championnat. C’est une nouvelle année qui commence, l’ensemble des joueurs et du staff sont mobilisés, assure-t-il. Nous ne ferons pas de cadeau, on va aligner la meilleure équipe possible avec l’ensemble des joueurs qu’on a à notre disposition ».

Une opportunité tout de même pour les protégés de Stéphane Crucet de renverser les pronostics ? Réponse sur le terrain samedi après-midi au Stade de l’Aar.

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Saint-Quentin : le piège à gros ?

Le FC Metz se rendra à Saint-Quentin (Aisne, tombeur de Prix-les-Mézières au tour précédent) samedi (18h) pour le compte des 32es de finale de la Coupe de France. Rien d’insurmontable sur le papier pour les Grenats qui avaient déjà fait le déplacement il y a près de vingt ans.

C’était le 12 février 2000. On jouait les 16es de finale de la Coupe de France et le FC Metz avait dû s’employer pour venir à bout d’une solide équipe picarde qui évoluait alors en CFA. Les Grenats avaient dû attendre la prolongation pour se qualifier (1-3 ap). Bernard Serin, le président messin, l’a dit : « on veut jouer la coupe à fond. On a l’effectif pour jouer sur les deux tableaux ». Le message à son équipe est clair. Le duo De Zerbi-Hognon qui a pris les choses en main en l’absence de Frédéric Antonetti, parti en Corse au chevet de son épouse malade, aura pour mission de poursuivre l’aventure.

Qu’est-ce qui attend les Messins à Saint-Quentin ? D’abord un club qui a connu durant deux saisons la Ligue2, au début des années 90. Un club picard, qui, pour l’anecdote, a vu dans ses effectifs passer un certain Jean-Marc Bosman, footballeur belge qui a donné son nom à un célèbre « arrêt » qui a promulgué la libre circulation des joueurs pros. Mais aussi un stade qui devrait abriter 3000 personnes, bien plus que les deux cent qui garnissent habituellement les travées de l’enceinte picarde malgré une équipe saint-quentinoise leader invaincue de son groupe de N3. Fabien Croze, ancien pro de Clermont et Orléans, ancien coach dans plusieurs clubs de CFA, ancien scout de Leicester ou de l’Espanyol Barcelone. Alors que le club s’était donné les moyens de retrouver le N2 depuis quatre ou cinq ans, c’est l’année où l’objectif est simplement de bien figurer que la montée semble tendre les bras aux Picards.

« Tout s’est bien goupillé pour nous en championnat, on est costaud et nos résultats le prouvent », explique Fabien Croze qui a réalisé un mixe entre des cadres trentenaires et des jeunes formés au club. « La Coupe, c’est le moment où tu peux réaliser un exploit face à des pros et Metz ça sonne bien. C’est le leader de la Ligue2, une belle équipe », une équipe que son adjoint David Desbonnes est d’ailleurs allé superviser à Valenciennes juste avant Noël. Rachid Mourabit le capitaine et ses coéquipiers auront surtout à cœur d’écrire une page d’histoire du club qui court après des heures glorieuses en Coupe de France qui datent d’il y a plus de soixante ans désormais.

Raon ne fera pas de croix sur la Coupe !

Raon l’Étape se prépare à un déplacement périlleux dans le cadre de son 32e de finale de Coupe de France dans le Nord, les Vosgiens de Michaël Grand s’apprêtent à affronter Croix Iris leader de N 2 (samedi 13h).

La « Vieille Dame » égaye la première partie de saison de l’US Raon l’Étape, 10e de son groupe en National 3 (sur 14), loin des objectifs fixés par le club en championnat les Raonnais espèrent atteindre les 16e de finale de la compétition pour la 4e fois de leur histoire. Pour cela il faudra revenir victorieux d’un déplacement dans les Hauts de France face à l’actuel leader de National 2 (groupe D) que l’entraineur Michaël Grand scrute depuis de nombreuses semaines. « Nous avons en face une équipe bien organisée avec des joueurs très expérimentés, leur terrain synthétique, ils le maitrisent à la perfection : un bloc compact avec des joueurs offensifs de qualité qui font souvent la différence en seconde période ». Mais pour le coach outsider « il y a des failles à exploiter que l’on travaille, nous avons analysé rigoureusement leur jeu ».

L’USR met en tout cas toutes les chances de son côté avec des entrainements adaptés spécialement à la rencontre de samedi, tant sur le plan technique qu’organisationnel avec des séances ajustées à l’heure de la rencontre depuis le début de cette semaine. Les Vosgiens pourront également compter sur leurs supporters qui se déplaceront au nombre de 2 bus au petit matin de la rencontre. Les joueurs et le staff partiront eux la veille du match afin d’être dans les meilleures conditions possibles le jour J et dormiront donc à quelques kilomètres seulement du stade Jacques Debuck où ils espèrent donc renverser une équipe qui réalise une première partie de saison quasi parfaite.

En effet, la Croix Football Iris Club n’a cédé qu’à 4 reprises en compétition officielle cette saison, et toujours à l’extérieur à l’exception d’un revers 2-1 à domicile en aout dernier face à Sedan, équipe du Grand Est. Mais ne cherchez pas une victoire vosgienne cette saison contre ces terribles nordistes, le SAS Épinal en octobre et sur sa pelouse s’était incliné 2-1.

Souhaitons aux Raonnais la même épopée connue en 2012/2013 où leur victoire en 32e de finale leur avait permis de recevoir les Girondins de Bordeaux à la maison !

N.B : Ils restent quelques places pour effectuer le déplacement organisé par le club, afin de soutenir les bleus et blancs ce samedi… plus d’informations.

Nicolas Grandidier

2019 : vers de nouveaux succès !

Albert Gemmrich, le Président de la LGEF, adresse ses vœux à l’ensemble des clubs, dirigeants et licenciés du Grand Est pour l’année 2019 qui s’ouvre dans quelques heures.

« Une pensée d’abord pour vous, pour vos familles, vos proches, en espérant que vous ayez pu passer de belles fêtes de fin d’année, loin du tracas quotidien que constitue souvent la gestion d’un club. Une pense aussi en direction des clubs de notre Ligue qui n’ont pas eu l’occasion de couper. Je pense bien entendu à ceux qui pratiquent le futsal, mais aussi à celles et ceux qui ont la chance d’être encore qualifiés pour la Coupe de France féminine ou masculine, la coupe Gambardella,. Ils ont déjà repris l’entraînement pour la plupart, sans compter la préparation de cette échéance si particulière dans l’histoire d’un club. Je leur souhaite par avance bonne chance.

Mais parlons de 2019. Pour dire d’abord que cette année sera particulière pour l’ensemble du football français qui accueillera pour la première fois la Coupe du Monde Féminine. Nous aurons la chance de disposer de six matchs à Reims et c’est un défi en commun que je vous lance aujourd’hui : remplir au maximum le Stade Delaune ! Pour montrer le dynamisme du football dans le Grand Est, mais aussi parce que cette Coupe du Monde doit constituer un élan indispensable au développement de la pratique féminine dans notre région. Nous avons lancé un vaste programme d’action : un séminaire de travail des femmes présidentes du Grand Est dès la fin janvier, une tournée à travers tous nos districts au printemps, la mise en avant de l’arbitrage féminin. Nous devons tous nous sentir concernés. Le football féminin français se porte bien mis il attend un supplément d’âme que pourrait constituer une victoire dans une épreuve majeure. Souhaitons que 2019 en soit l’occasion…

2019 doit aussi être l’année de consolidation de notre Lige du Grand Est. Les nouvelles compétitions de jeunes vont arriver, nous disputerons la première édition de la finale de la Coupe Grand Est et l’harmonisation de cet immense ensemble touche à sa fin. Je voudrais ici remercier mes collègues du Comité Directeur, l’ensemble des Districts du Grand Est, les commissions, les salariés de la LGEF, tous ceux qui œuvrent au quotidien pour faire avancer notre Ligue. Ce travail mené depuis deux ans va porter ses fruits et doit surtout vous aider dans vos clubs à mieux appréhender le monde mouvant au sein duquel nous évoluons.

A tous, une très belle année 2019, la santé pour chacun d’entre vous, pour vos familles, vos proches. Des projets pour vous et pour vos clubs, la réussite sportive et, surtout, de la sérénité sur tous les terrains dans la lignée de l’opération « Foot Valeurs » lancée l’été dernier et qui doit nous unir dans ce but commun.

Bon réveillon de la St-Sylvestre, belle fin d’année et au plaisir de vous revoir !

La rétro foot de l’année : décembre 2018

Juste avant de ranger les chasubles et les coupelles pour quelques semaines, il faut donner un dernier coup de collier. Les terrains deviennent gras et lourds, les week-ends deviennent incertains. Bienvenue en décembre….

Il y a de tout en décembre. Une assemblée fédérale de la FFF a Paris malgré un week-end de mobilisation des gilets jaunes, un tirage au sort de la Coupe du Monde féminine à la scène musicale de Boulogne/Billancourt. Les Bleues connaissent leurs adversaires qui seront la Corée du Sud, la Norvège et le Nigéria. Rien d’insurmontable pour ce premier tour. On connaît surtout les équipes qui seront visibles sur les six matchs prévus à Reims : Etats-Unis, Norvège, Italie, Pays-Bas, Canada sans oublier un 8e de finale prometteur. De quoi relancer la course aux billets pour les rencontres joués au stade Delaune.

La météo commence à montrer des signes de faiblesse après un automne très clément dans le Grand Est. Les premières chutes de neige font leur apparition intempestive, comme souvent. Mais il faut jouer, en coupe notamment car les échéances nationales obligent.
En Coupe de France féminine, les Strasbourgeoises de Vauban éliminent l’AS St-Etienne. En Coupe Gambardella, c’est plus dur pour les douze équipes du Grand Est en lice au 1er tour fédéral. Huit sont éliminées dont le FC Metz et le Stade de Reims, ça pique…

En Coupe de France, l’aventure se termine pour la FAIG Illkirch battue de justesse par Sochaux. Si Troyes est éliminé, Metz et Nancy font le boulot, ça passe aussi pour Raon L’Etape et Schiltigheim et surtout pour Olympique Strasbourg (R2) qui se hisse en 32e de finale après avoir sorti Epinal (N2). Le tirage des 32es de finale offre les Verts de St-Etienne aux Strasbourgeois. Débute alors le feuilleton du lieu du match qui trouve son épilogue juste avant Noël avec le choix du Stade de la Meinau et un match fixé au 6 janvier.

Décembre, c’est aussi l’occasion d’un premier bilan. En National2, Schiltigheim reste dans le coup, Sedan et Epinal aussi, mais avec déjà un peu de retard, alors que Haguenau, pour son retour en N2, semble capable d’y assurer son maintien. En National3, ce sont Sarre-Union et Thaon-les-Vosges qui partagent la première place. Les Alsaciens sont invaincus alors que le promu vosgien fait parler son attaque de feu et remporte 7 de ses 13 matchs aller. A suivre….

La rétro foot de l’année : novembre 2018

Novembre, c’est le mois de la confirmation. La saison est déjà compliquée pour certains, joyeuse pour d’autres, le tout rythmé encore et toujours par les compétitions à élimination directe.

Mais c’est avec une assemblée générale ordinaire de la LGEF que démarre ce mois de novembre. Les finances vont eu peu mieux, la réforme est en place et cette assemblée générale respire une forme de sérénité pour la première fois depuis la mise en place de la fusion des trois anciennes ligues. Cette AG est l’occasion de revenir sur l’opération « Foot Valeurs » et sur les objectifs de la LGEF qui prend l’engagement de publier régulièrement les chiffres de l’observatoire des comportements qui analyse les quelques 72000 rencontres qui ont lei chaque saison dans le Grand Est.

Coupe et re-coupe…. Novembre, c’est le 7e tour de la Coupe de France avec déjà de belles affiches comme un Sarreguemines – Metz qui pousses les Grenats au tir au but. C’est Olympique Strasbourg qui reste le dernier club de R2 en lice après le 7e tour et l’aventure ne fait que commencer pour les Strasbourgeois. Un natif de Forbach, pro à Strasbourg, Anthony Caci, vient effectuer le tirage des 32es de finale de la Coupe Grand Est qui offre déjà son lot de surprises. Mais la Coupe de France féminine et la Coupe Gambardella ne sont pas en reste non plus. Pour cette dernière, douze clubs du Grand Est se hissent en phase fédérale.

En Régional1, les premières tendances commencent à s’annoncer. Dans le groupe A, Cormontreuil, qui avait démarré doucement, commence à pointer le bout de son nez. La réserve du FC Metz écrase al concurrence dans le groupe B, malgré une belle résistance de Forbach. Enfin, c’est la FAIG Illkirch qui s’affirme dans le groupe C, un peu à la surprise générale, d’autant que les Illkirchois vont loin aussi en Coupe de France.

On retiendra enfin en novembre une image que le football aime bien. Celle de l’internationale Gaëtane Thiney de retour au collège de son enfance à Brienne-le-Château dans l’Aube. L’ancienne de St-Memmie et de Juvisy, a pris le temps d’échanger avec les enfants, de signer des autographes.

La rétro foot de l’année : octobre 2018

La Coupe, encore la Coupe. Elle est au cœur de chaque semaine du mois d’octobre entre les matchs et les tirages qui s’enchaînent, sans oublier la Coupe du Grand Est qui fait ses débuts.

C’est le mois des premières. La LGEF délocalise ses tirages de Coupe de France. Au 5e tour, il a lieu à Reims et il est retransmis en direct à Metz et Strasbourg. Quant au tirage du 6e tour (photo), il a lieu dans un endroit symbolique : le Parc U4 d’Uckange, symbole du passé industriel de la Lorraine. David Régis, ancien joueur de Troyes, Strasbourg et Metz, mais aussi Renaud Cohade, capitaine du FC Metz et ancien de Strasbourg, font le tirage en compagnie de l’ancien international Bernard Zénier. Les petits poucets cèdent les uns après les autres, logiquement, mais chaque fois une belle fête de football a précédé. Avize, Rossfeld, Olympique Strasbourg ou Heillecourt, clubs de R2 et de R3, se hisseront néanmoins au 7e tour.

On retiendra aussi qu’en octobre 2018 s’est déroulé le 1er tour de la Coupe Grand Est. La LGEF a décidé de faire de cette compétition une de ses priorités : dotations, visibilités, tout est remis à plat et peu à peu la compétition prend sa place dans le paysage.
Et puis la Grand Est st mis à l’honneur à l’occasion du match France-Allemagne, dans le cadre de la Coupe des Nations, au stade de France. Menée au score, l’équipe de France réagit au terme d’une rencontre qui aura aussi été l’occasion de mettre en avant le patrimoine du football du Grand Est à travers ne exposition montrée dans les salons du Stade de France. Et puis l’on reparle bien entendu de la Coupe du Monde féminine avec, en octobre, le lancement de la billetterie. Après un démarrage timide, le succès est au rendez-vous, notamment à l’étranger.

La rétro foot de l’année : septembre 2018

Rentrée scolaire au menu et déjà un match international dans le Grand Est. La LGEF s’est mise au travail et réunit bon nombre de ses clubs en ce début de saison qui bat son plein.

L’activité est déjà dense. Le Grand Est accueille le 49e congrès médical de la FFF durant deux jours à Nancy, quelques jours avant de recevoir les Espoirs tricolores qui disputent à la Meinau, le 11 septembre, leur dernier match qualificatif pour l’Euro. Vingt ans qu’on attendait une qualification des Bleuets. Du coup, pour un match sans enjeu face au Luxembourg, ils sont plus de dix mille à la Meinau au lendemain d’une séance d’entraînement à Molsheim qui a réuni un millier de spectateurs enthousiastes.

Le match à la Meinau, remportée aisément par Terrier, Bamba et les autres, est l’occasion d’une belle cérémonie de remise de diplômes pour les jeunes titulaires du Brevet de Moniteur de football par apprentissage de la promotion Jean-Pierre Papin. C’est Thierry Laurey, l’entraîneur du Racing Club de Strasbourg, qui parraine la seconde promotion présentée ce soir là à la Meinau. Inauguration aussi, en septembre, du tout nouveau terrain synthétique du Pole Espoir de Nancy.

Mais on joue évidemment beaucoup au football en ce mois de septembre. Metz brille de mille feux en Ligue2 alors que Nancy et Troyes sont à la Peine. Reims et Strasbourg affichent de belles couleurs également et semblent partis pour une saison souriante. Les nouveaux maillots de la Coupe de France sont présentés et attisent les convoitises. Valmont, Remilly-Aillicourt, Seingbouse ou Muespach font parler d’eux et de leur district respectif. Et puis l’on reparle du Mondial et de ses retombées positives. La FFF annonce un plan de reversement de 10 millions d’euros pour les clubs amateurs : ceux de moins de cent licenciés, tous ceux disposant d’une école de foot féminine ou non.

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