Journée de la Com : première réussie !
Publié le 22/12/2019
Ce samedi à Pont-à-Mousson, la LGEF avait convié les responsables de la communication des clubs du Grand Est pour une journée de travail juste avant les fêtes. Une belle réussite à la clef.
La communication est devenue un outil important de la structuration des clubs de foot amateur. Encore faut-il manier l’outil avec précaution et respecter un certain nombre de règles. Cette première édition de la « Journée de la Com » avait pour objectif de donner des clefs de compréhension aux dirigeants bénévoles des clubs en charge du sujet, mais aussi de permettre des échanges entre eux.
La matinée a été l’occasion de deux tables rondes. La première, animée par Emmanuel Lafrogne, responsable des médias de l’AS Nancy-Lorraine, autour des réseaux sociaux, de la communication en « temps de crise ». Des échanges constructifs qui ont permis aux participants de voir comment un club professionnel avait été amené à communiquer sur les réseaux sociaux durant toute une saison dernière particulièrement compliquée au plan sportif.
La seconde table ronde a vu la participation de trois journalistes de la presse quotidienne en charge du football amateur : Christian Frichet (L’Est Républicain), Christophe Schnepp (Dernières Nouvelles d’Alsace) et David Calais (L’Union/L’Ardennais). Tous trois ont évoqué la place occupée par le traitement du football amateur dans les pages de leurs quotidiens mais aussi la digitalisation incontournable à venir ainsi que les droits d’auteur. Les journaux souhaitent en effet lutter contre l’utilisation de contenus payants parfois publiés par les clubs sur leurs outils de communication sans aucun accord.
L’après-midi, enfin, aura été l’occasion d’ateliers pratiques autour de « Sporttotal » et les caméras automatiques installées dans les stades de Régional1 et « Artywiz », la plateforme qui permet la création automatique et gratuite de contenus de communication pour l’annonce des matchs et/ou des résultats. Une bonne journée de travail au total qui en appelle forcément d’autres.
Reportage signé Myrtille Deletang