Publié le 05/11/2023

Ce samedi 4 novembre avait lieu l’assemblée générale de la LGEF. Outre le compte de résultat 22-23, le traditionnel bilan de la saison écoulée, il a été question du projet de l’éventuelle scission de l’Alsace. Explications.

Il faudra encore patienter. C’est en mars que l’assemblée générale de la LGEF aura à se prononcer sur un éventuel projet de scission de l’Alsace, avant que l’ag de la FFF, souveraine en la matière, ne se prononce en juin 2024. C’est ce qu’a rappelé Jean-François Vilotte, le DG de la FFF, venu ce samedi à Villers-lès-Nancy.

En attendant, des groupes de travail vont être mis en place comme l’a expliqué Albert Gemmrich, Président de la LGEF. Une restitution sera faite lors de réunions de proximité avant l’assemblée de mars. « Nous tenterons de vous éclairer du mieux possibles dans les différents domaines », a encore indiqué le président de la Ligue. Le sujet a été l’occasion d’un court débat.

Avant cela, l’AG a approuvé à 53% un budget 22-23 en déficit de 370.000 euros, un résultat lié en grande partie à l’inflation, a expliqué Olivier Turbé, trésorier général qui a évoqué « un résultat déficitaire mais une situation saine » et un objectif de maîtrise des dépenses et la volonté de construire un budget en excédent.

L’assemblée a aussi été l’occasion du bilan de la saison écoulée avec une hausse du nombre de licenciés (+3723) même si le total n’atteint pas encore les chiffres d’avant-covid, la bonne santé de l’arbitrage dans le Grand Est avec 2834 arbitres, soit une hausse de 400 par rapport à 2019, avec un taux de fidélisation aux alentours de 77%. Le rapport moral du secrétaire général Michel Spindler a été l’occasion de rappeler les actions menées tout au long de la saison écoulée.